Le 13 décembre 2011

Pas exactement un palmarès (trop de films à rattraper) mais quelques titres hautement recommandables, chocs esthétiques de l’année 2011
Pas exactement un palmarès (trop de films à rattraper) mais quelques titres hautement recommandables, chocs esthétiques de l’année 2011.
– La rencontre miraculeuse de l’univers de Tonino Bernardi et de la grande Huppert dans Médée miracle
(Inutile de dire qu’on n’est pas du tout d’accord avec La critique de Jean-Patrick Géraud)
Médée Miracle
– Faux film de commande pour l’exposition de Shanghai la galerie de portraits de I wish I knew confirme que JIA Zhang-ke est un des deux ou trois cineastes qui captent le mieux la présence du passé dans le présent.
I wish I knew
Pas moins que deux HONG Sang-soo, plus euphorisants l’un que l’autre :
– Hahaha
Ha ha ha
et
– Oki’s movie
Oki’s movie (Les amours d’Oki)
La présence rassurante de quelques vieux de la vieille à la jeunesse inaltérable :
– Un Manoel de Oliveira magique à tous points de vue : L’étrange affaire Angelica
L’étrange affaire Angélica
– Straub rendant leurs aspérités aux textes de Corneille, Brecht et Dante exposés à la lumière changeante d’un intérieur parisien ou d’un sous-bois pisan : O somma luce
O somma Luce
– Un Skolimowsky percutant et onirique Essential killing
Essential killing
– Monte Hellman enfin de retour avec le doucement pirandellien Road to nowhere
- Road to nowhere
– Garrel tel qu’en lui-même mais aux couleurs de Rome : Un été brûlant
Un été brûlant
– Sans oublier un inédit de Fassbinder à la douceur implacable : je veux seulement que vous m’aimiez
Je veux seulement que vous m’aimiez
– Enfin deux téléfilms qui (ne) sortiront peut-être (pas) en salle : les épisode Petzold et Hochhäusler de la passionnante trilogie Dreileben
Dreileben