Tout à fait d’accord avec cette jolie critique ! J’ai trouvé la photo éblouissante (Sergio Armstrong). Je suis un peu déçu que le film reçoive des critiques pas au niveau qu’il mérite de la part du public : un film à montrer et à aller voir !

Avec un talent certain, Gregório Graziosi nous embarque dans un passionnant mélange de thriller et d’horreur psychologique.

Non sans talent dans sa mise en scène et grâce à une impeccable direction d’acteurs, Camila sortira ce soir porte une réflexion d’intérêt sur l’insertion d’une jeunesse révoltée dans un monde qu’elle juge parfois anachronique.

Envoûtant, ambigu, séduisant et entraînant, Fleur pâle est enfin distribué en salles, et mérite qu’on prenne le temps d’en discuter.

C’est armé d’une batterie de personnalités artistiques et culturelles assez impressionnante que John Wax et Jean-Pascal Zadi décident de s’attaquer au sujet, ô combien d’actualité, de l’identité noire en France. Quelques fous rires pour une belle réussite.

Jusqu’au 26 mai 2023, le Défi 48h Environnement Très Court propose à toutes et à tous de s’inscrire, pour ensuite soumettre un film à contraintes de 4 minutes, et pourquoi pas un joli Prix.

Sans jamais oublier l’exigence formelle, Enterrement de vie de garçon laisse son spectateur hilare, et profondément touché.

Monté comme un bon thriller, à la formule oscillant entre prouvée et éprouvée, Au contact dénote autant d’un savoir-faire indéniable que d’une prise de risque limitée.

Sans jamais atteindre les sommets, En place se suit sans déplaisir mais sans surprise, et tient au tempo comique de ses comédiens, tous remarquables.

Moloch fait plus que remplir son contrat : il parvient à happer et à questionner son spectateur, tout en forçant l’admiration.

Si Economie du cinéma requiert une attention élevée de la part de son lecteur, l’ouvrage sait lui offrir de nombreuses et précieuses clés de compréhension d’un univers en pleine mutation.

Jacques Aumont et Michel Marie proposent un incontournable pour l’étudiant ou encore le cinéphile aspirant à l’analyse.

D’une infinie douceur, The Car distille ses mélodies complexes avec charme et retenue, conférant un autre niveau de lecture à la carrière de ses auteurs.