Tout à fait d’accord avec cette jolie critique ! J’ai trouvé la photo éblouissante (Sergio Armstrong). Je suis un peu déçu que le film reçoive des critiques pas au niveau qu’il mérite de la part du public : un film à montrer et à aller voir !

Nouvel ordre secoue tout en évitant les facilités que son postulat de départ laisse supposer.

Le Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel (Neuchâtel International Fantastic Film Festival), seul festival de cette ampleur dédié au genre en Suisse, revient avec une édition éclectique, des compétitions haletantes et des animations ouvertes au plus grand nombre.

Élodie Lélu signe un film féministe intergénérationnel pétri de jolies idées mais qui peine à convaincre pleinement.

Julia Ducournau livre un film hautement singulier, confirme tout son talent, mais déçoit presque inéluctablement, au vu de l’attente suscitée par son Titane.

Que notre joie demeure tombe dans le piège du film hommage, et ne va pas au fond des questionnements passionnants qu’il effleure. En résulte un film intéressant, mais un peu plat.

Sans jamais oublier l’exigence formelle, Enterrement de vie de garçon laisse son spectateur hilare, et profondément touché.

Monté comme un bon thriller, à la formule oscillant entre prouvée et éprouvée, Au contact dénote autant d’un savoir-faire indéniable que d’une prise de risque limitée.

Sans jamais atteindre les sommets, En place se suit sans déplaisir mais sans surprise, et tient au tempo comique de ses comédiens, tous remarquables.

Moloch fait plus que remplir son contrat : il parvient à happer et à questionner son spectateur, tout en forçant l’admiration.

Entre conflits intergénérationnels et enjeux politiques démesurés, Asimov livre un sommet de littérature, qui s’impose depuis les années cinquante comme une œuvre majeure de la science-fiction. Elle se relit avec grand plaisir aujourd’hui.

L’ouvrage collectif brille autant par son caractère original qu’indispensable à tout amateur de science-fiction. Pour ces derniers, lire la Xénographie s’apparente à un plaisir autant qu’à un devoir.

Le grand maître des illusions Satoshi méritait bien un hommage, que lui rend joliment Bounthavy Suvilay dans un livre aussi léger que complet.

Par delà l’horizon est un objet de curiosités, qui se dévore ou se savoure, dans l’ordre ou le désordre, toujours avec intérêt, souvent avec admiration.

Les 1000 films culte de l’histoire du cinéma a tout pour plaire au lecteur avide de découvertes, grâce à une présentation impeccable et des textes toujours très abordables.

D’une infinie douceur, The Car distille ses mélodies complexes avec charme et retenue, conférant un autre niveau de lecture à la carrière de ses auteurs.