Tout à fait d’accord avec cette jolie critique ! J’ai trouvé la photo éblouissante (Sergio Armstrong). Je suis un peu déçu que le film reçoive des critiques pas au niveau qu’il mérite de la part du public : un film à montrer et à aller voir !

Pierre Saint Martin de Castellanos signe un conte délicat, teinté de folie douce, et porté par une Luisa Huertas superbe.

Animale, sans remplir toutes ses promesses, fait figure de proposition solide mais prévisible.

Mi Bestia, sans renouveler l’imagerie sur laquelle il s’appuie, promet un instant suspendu entre croyances et adolescence effrontée.

Les arguments ne manquent pas pour voir ou revoir Un flic : Melville, Delon, Deneuve. Pourtant, il n’est pas illogique que le film survive dans une forme d’anonymat, éclipsé par d’autres œuvres bien plus fortes.

Zippy Kimundu et Meena Nanji, réalisatrices de Our Land, Our Freedom, un film essentiel pour comprendre l’histoire de l’indépendance du Kenya d’un point de vue africain, nous accordent une interview en marge du Festival du cinéma d’Afrique de Lausanne.

Sans jamais oublier l’exigence formelle, Enterrement de vie de garçon laisse son spectateur hilare, et profondément touché.

Monté comme un bon thriller, à la formule oscillant entre prouvée et éprouvée, Au contact dénote autant d’un savoir-faire indéniable que d’une prise de risque limitée.

Sans jamais atteindre les sommets, En place se suit sans déplaisir mais sans surprise, et tient au tempo comique de ses comédiens, tous remarquables.

Moloch fait plus que remplir son contrat : il parvient à happer et à questionner son spectateur, tout en forçant l’admiration.

Ann Warren Griffith propose une piqûre de rappel efficace contre la société ultra marchande qu’elle voit advenir dès les années 50.

Marc Dugain angoisse autant qu’il passionne, dans une chronique qui mêle politique et anticipation.

Philip K. Dick signe avec ce roman phare des années 1960 un classique absolu de la science-fiction, brillant d’inventivité qui demeure, contrairement aux apparences, un modèle de simplicité.

Lire ou relire Mahmoud Darwich, c’est se plonger dans un verbe par-delà les métaphores, si souvent engagé, mais aussi empreint des simples plaisirs qui s’offrent à tous.

Panayotis Pascot nous offre dans ce livre la confirmation, après son excellent seul en scène, que sa plume est aussi directe que brillante.

D’une infinie douceur, The Car distille ses mélodies complexes avec charme et retenue, conférant un autre niveau de lecture à la carrière de ses auteurs.