Le 17 mai 2017
- Voir le dossier : Box-office Hebdomadaire France
On fait le point sur toutes les entrées de la saga Alien.
Le décollage ne déplace pas les masses. Alien Covenant réussit le minimum pour un blockbuster de cette importance, mais la carrière des Alien n’a jamais été grandiose sur notre territoire. Avec 675.000 créatures hybrides en première semaine, dans une combinaison de 611 salles, le film réalise le minimum attendu par la Fox. Prometheus avait attisé la curiosité de 812.000 entrées en 1ere semaine, en mai 2012, avant de finir à 1.837.000 entrées.
Pour mémoire, Alien, le 8e passager a achevé sa carrière à 2.809.000 entrées en 1979. Aliens, le retour de James Cameron, avait atterri à 1.720.000 entrées en 1986. En 1992, Alien 3 s’avéra être un semi-succès en 1992, avec 1.652.000 entrées. Alien, la Résurrection profita de la présence d’un cinéaste française derrière la caméra pour réaliser le meilleur score de la saga, avec 2.845.000 entrées. Pour une suite foireuse, cela tenait de l’exploit !
Les Gardiens de la Galaxie vol. 2 sont contraints de rétrograder dans le 2e espace. 333.000 entrées dans 686 salles, en 3e semaine, c’est bien, mais évidemment, on est loin d’un Marvel foudroyant qui ambitionnerait les 4.5 millions d’entrées. Le sequel cool culmine pour l’instant aux 2.550.000 mortels, loin des 3.669.000 entrées de Fast & Furious 8 toujours dans la course en 5e semaine (124.000).
Increvable, Baby Boss ne veut pas aller se coucher, en 7e semaine, il dépasse les 3.600.000 entrées. Il a tué sa concurrence, à savoir Les Schtroumpfs (1.651.000) et La Belle et la Bête qui dépérit.
En 3e place, le film de peur hilarant, Get out, résiste avec 239.000 curieux.
Flop malheureux pour Problemos, comédie désopilante sur les ZAD et les Nuit Debout par Eric Judor qui avec le temps deviendra, on l’espère, une entreprise de bonne humeur collective. En attendant, son lancement à 96.000 zonards dans 307 camps, laisse à désirer.
Django (676.000/374.000) et Aurore (64.000/330.000) clôturent bien un top de saison, c’est-à-dire mou.
Sources : Le Film Français/ComScore
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