Box-office Américain : Hunger Games l’embrasement encore plus fort que le premier !

Désormais, Hunger Games 2 est le 4e meilleur démarrage de l’histoire aux USA !

Avec 161M$ pour ses 3 premiers jours d’exploitation aux USA, l’excellent Hunger Games l’embrasement se permet de battre son propre record : 161M$ contre 152M$ pour le volet original en mars 2012. Il s’agit d’un score remarquable, le 4e meilleur démarrage de l’histoire derrière Avengers (207M$), Iron Man 3 (175M$) et le dernier Harry Potter (169M$). Le film fait donc la nique à The Dark Knight à 1 million de dollars près.
Exploité dans 4.163 cinémas, le film de Francis Lawrence a profité d’arguments en béton, une exposition médiatique totale, des critiques unanimement positives, saluant les efforts artistiques d’un sequel plus abouti que le volet originel, et une fanbase énorme. Le premier, certes succès modeste dans le monde, avait encaissé 400M$ aux USA, qui a depuis enflé avec l’exploitation virale et vidéo.
Ce score ne fait que confirmer l’engouement mondial où H.G.2 a déjà empoché pas moins de 150M$ sur une poignée de territoire, dont au Brésil où le film a connu sa première mondiale avec des chiffres mirobolants en nette hausse par rapport au premier chapitre. Des signes qui ne trompent pas !
En France, Metropolitan FilmExport, dont le seul succès annuel a pour titre Le Majordome (près de deux millions d’entrées), compte au moins doubler le score français timide grâce à une exploitation massive, qui devrait s’étendre jusqu’aux vacances de Noël : le premier Hunger Games n’avait attiré que 1.700.000 spectateurs. Score considérable, certes, pour une franchise adolescente naissante, mais loin du phénomène américain.
Le second volet pourrait dépasser les 4 millions de spectateurs dans l’Hexagone, et obtenir enfin un score en phase avec les chiffres des Twilight, autre saga littéraire à laquelle on pourrait comparer maladroitement Hunger Games. Mais il faut le dire, artistiquement, Hunger Games 2, c’est d’un autre niveau, avec un sous-texte politique et une violence qui font de ce spectacle un incontournable de fin d’année y compris pour les adultes amateurs de blockbusters américains.

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