Le 20 décembre 2015
- Voir le dossier : Box-office américain
Les pré-ventes ont fait le job : le film au (probable) plus grand nombre de partenariats jamais recensé, est devenu le meilleur démarrage de l’année et de l’histoire aux USA avec un premier jour, laissant peu de place à la qualité et aux hasards, des critères inexistants face à la préparation industrielle du « produit ».
Les pré-ventes ont fait le job : le film au (probable) plus grand nombre de partenariats jamais recensé, est devenu le meilleur démarrage de l’année et de l’histoire aux USA avec un premier jour, laissant peu de place à la qualité et aux hasards, des critères inexistants face à la préparation industrielle du « produit ».
Avec 120.5M$, Star Wars 7 se réveille surpuissant aux Etats Unis, avec des chiffres qui éclatent des records, notamment celui tenu par Harry Potter et les reliques de la mort Partie 2 (91M$) et les démarrages du Meilleur premier jour pour un mois de mai tenus par le premier volet du Hobbit (84.6M$).
Le record était attendu, pas de surprise. C’est beau, mais jamais surprenant, c’est ce qui est ennuyeux avec ce nouvel épisode c’est que la délice d’être abasourdi n’apparaît point. C’était attendu, car trop « travaillé » à l’avance, afin de ne rien laisser à la chance ou à la qualité. Aussi, on reste beaucoup plus impressionné par le démarrage en 3 jours de Jurassic World (208.8M$), qui était totalement inimaginable, d’autant que Star Wars : Le Réveil de la Force ne pourrait battre les dinosaures de Universal que de 30M$ en fin de week-end. Selon nos confrères de Deadline, le blockbuster de Disney aurait chuté de 40% lors de son 2e jour, se positionnant seulement au 4e meilleur samedi de tous les temps.
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