Le 24 mai 2003
"Les femmes c’est du chinois." Misogyne en même temps qu’érotomane profond, Gainsbourg est tenu par un lien passionnel avec les femmes, Gainsbarre insulte les lolitas. Son premier souvenir d’amour ressemble à une scène de Proust, sur la plage, une jolie fillette. Son premier revers amoureux, date de lorsqu’il est peintre. Il a alors une petite vingtaine d’année et une jeune Russe prête aux ébats se refuse au dernier moment. Entre-temps il y a eu les prostituées, et il y en aura beaucoup, du reste. Mais "Ça, ça a été le commencement d’une misogynie forcenée." Dès lors, dans ses textes, la gent féminine est traitée avec dédain. Mais aussi avec désir et avec humour. Gainsbourg provoque. "Si j’avais à choisir entre une dernière femme et une dernière cigarette, je choisirais la cigarette : on la jette plus facilement !"
aVoir-aLire.com, dont le contenu est produit bénévolement par une association culturelle à but non lucratif, respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. Après plusieurs décennies d’existence, des dizaines de milliers d’articles, et une évolution de notre équipe de rédacteurs, mais aussi des droits sur certains clichés repris sur notre plateforme, nous comptons sur la bienveillance et vigilance de chaque lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe. Ayez la gentillesse de contacter Frédéric Michel, rédacteur en chef, si certaines photographies ne sont pas ou ne sont plus utilisables, si les crédits doivent être modifiés ou ajoutés. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.