No Money Kids : Trouble - critique du 3e album du tandem de paname

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Notre avis : Et de trois. Le duo No Money Kids, parisien, il est vrai, mais à la musique rock indie puissamment mondiale, brise le silence avec un troisième opus qui dépote de par sa variété d’orientations qui ont pour point commun de toutes nous satisfaire.
Cette cuvée ciselée de 13 morceaux qui dépassent rarement les 3 minutes, sur des riffs endiablés Wake me up, flirtant avec le blues (See me laughing, Blue shadow) et le flow hip hop (le single Chains, avec le rappeur Charles X), fait mouche. On jubile quand Felix Kazablanca (chanteur et guitariste) et son acolyte Jean-Marc Pelatan reprennent le standard de Gnarls Barkley, Crazy. Le rock (Better qui clot l’album) est bon, la pop de Radio Sound peut se montrer plus légère mais sans dépareiller dans les délices. Les orientations plus électro de Lost Generation, titre marqué du seau de The Toxic Avenger, est l’un des pivots de l’album, en position quasi centrale.
Le retour est pêchu, défendu avec pertinence par le single Hush hush (voir le clip plus bas), ce qui mène d’ores et déjà le duo sur les routes de France, en passant par la Maroquinerie en janvier, pour les Parisiens.