Frydman Charles

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La folie des grandeurs - Gérard Oury - critique

Le film fait visiblement des clins d’œil amusés à la citation de Victor Hugo dans Ruy Blas : « ver de terre amoureux d’une étoile » et joue sur les homonymes « vert » et « ver » : les pompons verts du chapeau de Don Salluste, les pompons verts du vêtement de Blaze, les gants verts de Don Salluste qui fait très ver avec son pantalon qui tombe devant la reine, la reine qui l’accuse d’avoir fait un bébé à une jeune Allemande. Le bébé, le fils de Don Salluste, porte également des gants verts et semble être né avec. Don Salluste ne peut donc pas nier que c’est son fils ; la "lettre (…)

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Un sac de billes - la critique du film

Cacher son identité juive pour sauver sa vie. Dans la version precedente de un sac de billes, en 1975, lorsqu’il fut obligatoire pour le juifs de porter l’etoile jaune, le père dit : il faudra porter l’étoile avec fierté, être fier d’etre juif : "vous avez honte de porter l’étoile ? Je vous demande de la porter dignement, la tête haute" ! Dans la version 2017 Joseph dit "c’est comme une medaille", vite contredit par Henri "regarde maman,c’est comme au moyen âge (une marque infamante). Porter l’étoile c’etait mettre sa vie en danger, alors Roman Joffo demande à ses enfants de retirer (…)

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Remorques - Jean Grémillon - critique

La prière à la fin du film m’intrigue. Elle évoque surtout l’ancien testament. La litanie qualifiée quelquefois de "prière de délivrance" ( ciné club de Caen) se retrouve dans les differentes versions du "rituel romain" : "...Comme Enoch de la mort commune aux hommes Délivrez l’âme de votre servante Comme Noé du déluge Delivrez seigneur delivrez Délivrez l’âme de votre servante Comme Issaac de son père Comme vous avez délivré Moïse de Pharaon roi des egyptiens Delivrez Seigneur L’âme de votre servante Comme vous avez délivré Daniel de la fosse aux lions et les trois hébreux Et les (…)

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Panique - Julien Duvivier - critique

Ma fiancée du Perreux-sur-Marne Sans doute la meilleure adaptation du roman de Simenon "les fiancailles de monsieur Hire". Des fiançailles matérialisées dans le film Panique par un voyage romantique dans une barque vers une île . Dans le film Panique (1946) ,monsieur Hire alias monsieur Varga invite Alice à un simulacre de fiançailles dans sa maison à l’ile-des-loups ,attachée aux communes de Nogent le-Perreux. Il considère ensuite Alice comme sa fiancée alors qu’elle est en fait fiancée à Emile, l’assassin de Melle Noblet. Les villageois considerent Alice comme la fiancée de Mr Hire (…)

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Peur sur la ville - Henri Verneuil - critique

Le film "peur sur la ville" fait allusion à la divine comédie de Dante. J’ai lu plusieurs commentaires de la divine comédie , l’enfer, qui considèrent Minos comme une sorte d’allégorie de la conscience humaine.https://temporel.fr/La-Divine-comedie-de-Dante-une on y lit " Il est la voix de la conscience, et pour cela, se tient aux portes de l’enfer. Voyant au-delà des apparences, incitant chacun à renouer avec son être profond, il représente le combat entre la loi et sa transgression. " Un monstre" à l’aspect humain en quelque sorte. Dans le film "peur sur la ville" (1976) avec Jean-Paul (…)

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Le diable au corps - Raymond Radiguet - critique livre

L’œuvre de Radiguet baigne dans un certain flou artistique, quand au lieu ou se situe l’action .les ville de banlieue F… et J… ne sont jamais précisées. D’ ailleurs les situer tiendrait de la quadrature du cercle. C’est sans doute mieux ainsi et cela laisse place à l’imagination. Deux villes des bords de Marne synonymes de « l’héroïsme de tout un peuple » , cette Marne si douce que Radiguet aimait tant .Un rendez-vous amoureux a F… poserait quelques problèmes. « -Rejoins-moi a F…-J’accours, mais comment rejoindre F… ?-Tu prends la route-surprise. » Excusez l’enchaînement , mais il est une (…)

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