Le 27 février 2021

- Réalisateurs : Park Chan-wook - Bong Joon-ho - Lee Chang-dong - Yeon Sang-ho - Yong-hoon Kim
- Chaîne : OCS City
Du 20 au 25 mars, la chaîne OCS City se met à l’heure du cinéma sud-coréen.
News : Après avoir été marqué par l’École de Brighton, l’expressionnisme allemand, le réalisme soviétique, le néoréalisme italien, la Nouvelle Vague française, le Nouvel Hollywood ou encore le polar hong-kongais, le cinéma mondial est aujourd’hui sous l’influence des enragés sud-coréens.
C’est pourquoi, du 20 au 25 mars, la chaîne OCS City se met, le temps d’une semaine, à l’heure de ce pays, en programmant une série de films emblématiques du renouveau du cinéma du "pays du matin frais".
- Old Boy de Park Chan-wook (Copyright : Bac Films)
Au programme de cette rétrospective :
– Old Boy (올드보이) (2003) de Park Chan-wook avec Choi Min-sik (Grand prix du Jury du Festival de Cannes 2004) ;
– Snowpiercer : le Transperceneige (2013) du réalisateur de Parasite, Bong Joon-ho, avec Chris Evans, Tilda Swinton, Ed Harris et John Hurt ;
– Dernier train pour Busan (부산행) (2016) de Sang Ho-yeon avec Gong-yoo et Ma Dong-seok (numéro 1 au box-office sud-coréen pour l’année 2016) ;
– Burning (버닝) (2018) de Lee Chang-dong (Prix FIPRESCI au Festival de Cannes 2018) ;
– Poetry (시) (2010) de Lee Chang-dong avec Yoon Jeong-hee (Prix du Scénario au Festival de Cannes 2010) ;
– Lucky Strike (지푸라기라도 잡고 싶은 짐승들) (2020) de Kim Yong-hoon avec Jeon Do-yeon et Jung Woo-sung (Inédit à la télévision).
Autant d’œuvres d’une saisissante originalité, à la croisée du film de genre (film noir, thriller, science-fiction, horreur), de la satire sociale et de la tragi-comédie, à (re)découvrir, en attendant la réouverture des salles obscures, durant cette semaine du cinéma coréen.
Beaucoup de ces films sont, en France, déconseillés au moins de 16 ans.