Les grandes reprises
Le 31 juillet 2021
Petit bonheur à déguster comme une boisson qui fait pschitt !


- Réalisateur : Stanley Donen
- Acteurs : James Coburn, Cary Grant, Audrey Hepburn, George Kennedy, Walter Matthau
- Genre : Policier / Polar / Film noir / Thriller / Film de gangsters
- Nationalité : Américain
- Distributeur : Ciné Sorbonne (reprise)
- Editeur vidéo : Universal Pictures Video
- Durée : 1h54mn
- Date télé : 31 décembre 2022 21:00
- Chaîne : OCS Géants
- Reprise: 7 juillet 2021
- Box-office : 1.844.789 entrées France / 597.345 entrées Paris Périphérie
- Date de sortie : 18 décembre 1963
- Festival : Festival de La Rochelle 2022
Résumé : Aux sports d’hiver, une Américaine tombe amoureuse d’un séduisant célibataire. De retour à Paris, elle apprend le meurtre de son mari et elle va être poursuivie par d’étranges personnages, à la recherche d’un magot caché par la victime et dont elle ignore tout...
Critique : Charade vaut tout d’abord par son affiche, deux stars au sommet de leur gloire pour la première fois réunies... et pour la dernière aussi. Les deux acteurs avaient déjà travaillé avec Donen, Audrey Hepburn dans Funny Face, Cary Grant dans Indiscret et Ailleurs l’herbe est plus verte. L’intégralité du casting est d’ailleurs sensationnelle, tout autant que les dialogues avec leurs réparties qui fusent du tac au tac, la musique de Mancini, nommé à l’Oscar, le générique de début, formidable de sophistication, sans oublier la garde-robe de Miss Hepburn, créée par Hubert de Givenchy.
Culte depuis sa sortie, le film a inspiré de nombreux cinéastes comme Garry Marshall pour Pretty Woman ou Jonathan Demme qui en a réalisé un remake, La vérité sur Charlie (2001). Mais les miraculeuses étincelles de Charade se sont refusées à eux. Et c’est l’original qui restera dans le cœur des cinéphiles, petit bonheur à déguster comme une boisson qui fait pschitt !
minime 25 janvier 2006
Charade - Stanley Donen - critique
Film charmant de Stanley Donen, « Charade » fait plutôt sourire que frissonner avec son Paris de carte postale, ses héros qui jouent délicatement à « je t’aime moi non plus », son scénario assez rocambolesque.
Mais bon, quand on aime l’âge d’or du cinéma américain, quand on aime Cary Grant et Audrey Hepburn, quand on aime le côté fleur bleue un peu désuet, alors on aime « Charade » ; j’ai aimé « Charade ».