Le 20 octobre 2015
- Plus d'informations : http://www.arrasfilmfestival.com/
- Festival : Festival d’Arras
La nouvelle édition du Arras Film Festival propose un programme éclectique dont le dénominateur commun reste... le septième art !
La nouvelle édition du Arras Film Festival propose un programme éclectique dont le dénominateur commun reste... le septième art !
- Daniel Day-Lewis en plein combat dans The Boxer, de Jim Sheridan.
Notes : Le Arras Film Festival conserve sa ligne directrice pour "la cuvée" 2015. Comme l’année passée, le public Arrageois aura droit à "une sélection de 50 inédits et avant-premières (dont Legend, fraichement chroniqué) en présence des équipes, une compétition européenne réunissant neuf longs métrages projetés pour la première fois en France. Rappelons que les éditions passées furent pour vos serviteurs l’occasion de découvrir de petites perles, toujours pas (ou mal) distribuées sur le territoire nationale. On pense par exemple à notre coup de cœur 2013 Chasing The Wind, qui reçu d’ailleurs le Prix de la critique du Arras Film Festival. Le programme officiel 2015 venant d’être dévoilé, on sait que la manifestation s’est accordée un remarquable invité d’honneur en la personne de Jim Sheridan. Le réalisateur Irlandais (The Boxer, Au nom du père), en plus de soutenir la rétrospective "Irlande, d’un conflit à l’autre", délivrera une leçon de cinéma durant laquelle il évoquera sa carrière et sa méthode de travail dans le cadre d’une discussion avec NT Binh. Michèle Mercier se joindra au réalisateur de In America pour apporter une touche de féminité aux invités d’honneur, et proposera pour sa part une rencontre durant laquelle elle évoquera sa carrière dans une discussion publique avec Christophe Lemaire. La deuxième rétrospective, "Braquages en tous genres", se penchera sur des classiques du genre tels que Quand la ville dort (John Huston, USA, 1950), De l’or en barres (Charles Crichton, GB, 1951) version restaurée, Du Rififi chez les hommes (Jules Dassin, France, 1955), L’Ultime razzia (Stanley Kubrick, USA, 1956), Le Pigeon (Mario Monicelli, Italie, 1958), Mélodie en sous-sol (Henri Verneuil, France, 1963) version restaurée, Faites sauter la banque (Jean Girault, France, 1964), Sept hommes en or (Marco Vicario, Italie, 1965), L’Affaire Thomas Crown (Norman Jewison, USA, 1968), L’Or se barre (Peter Collison, GB, 1969), Le Cercle rouge (Jean-Pierre Melville, France, 1970) version restaurée, ou encore La Grande attaque du train d’or (Michael Chrichton, GB, 1978). Le festival sera également le théâtre de ciné-concerts menés par Jacques Cambra, un pianiste, arrangeur, compositeur et improvisateur qui accompagne régulièrement les programmes Lobster. Les ArrasDays seront bien évidemment toujours au rendez-vous (Les ArrasDays sont un rendez-vous pour les professionnels Français et Européens, où des projets de films sont dévoilés pour la première fois. Le but est de promouvoir des coproductions internationales) en vue d’une présentation des projets le samedi 14 novembre. En plus des découvertes du Festival des enfants et autres panoramas des "Cinémas du monde", le Arras Film Festival est l’endroit rêvé pour redécouvrir en salles certains classiques indémodables et engagés (Le chef d’œuvre Bloody Sunday). aVoir-aLire.com sera sur place pour couvrir, entre autre, la compétition ! En attendant des informations complémentaires, un petit retour en arrière sur l’un des plus beaux films jamais réalisés sur les conflits ravageant l’Irlande dans les années 70 avec la bande-annonce de Bloody Sunday.
Galerie photos
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