Retrouver son corps et célébrer la source : la Grèce antique.
C’est le chemin de vie d’Isadora Duncan, danseuse et chorégraphe, grande prêtresse de la danse moderne.
Née en 1877 à San Francisco, elle eut une enfance de bohème et su se construire et s’inventer à travers la danse avec une façon bien à elle d’appréhender la scène : pieds nus et revêtu uniquement d’une toge… Plutôt osé pour l’époque, tout comme son choix de vivre et avoir des enfants hors mariage.
Elle décéda en 1927 à Nice dans des circonstances tragiques. Oui vous avez sûrement déjà entendu l’histoire de cette artiste étranglée par son écharpe, qui se coinça autour de la roue de sa voiture chérie, devenant ainsi le tombeau de sa conductrice.
Heureusement tout l’art d’Isadora Duncan fut préservé et vous pourrez en découvrir et imaginer une partie grâce aux superbes dessins de Jules Stromboni - mélange d’aquarelle et de crayon - en parfaite symbiose avec le scénario de Josépha Mougenot, harpiste de son état.
Une grande « standing ovation » pour cet ouvrage qui fait partie d’une série lancée par Naïve dans la collection « Grands destins de Femme ».
A quand celui consacré à « Lady Gaga » ?

• Sortie mars 2013
• 104 pages
• A partir de 12 ans
• 28 euros

Dans la même collection :

• Dian Fossey (2012)
  
• Françoise Dolto (2011)
  
• Virginia Wolf (2011)
  
• Coco Chanel