Claude Rieffel

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Air Doll - Takeshi Kitano - critique

S’aventurant, non sans humour, dans le domaine de la sous-culture populaire du manga sans chercher à s’en dédouaner par une distance ironique, le film de Kore-eda prend le risque d’assumer une forme délibérée de naïveté constamment menacée par la mièvrerie ou l’excès de lisibilité. C’est à ce prix qu’il réussit à intriguer et même à troubler en profondeur. Il est vrai que ça tourne un peu à vide par moments mais le côté pas complètement fini participe aussi du charme bizarre et déroutant de Kûki ningyô/Air-doll.

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Je demande la parole - la critique du film

Les deux premiers films du tandem Panfilov-Tchourikova étaient portés par un sentiment d’euphorie lucide reposant sur un goût prononcé de l’expérimentation formelle et sur une empathie entre le cinéaste et l’actrice qui maintenait cependant un reste de distance étonnée face à l’étrangeté de ce visage atypique et de ces figures féminines déroutantes. Ici la part de cruauté dans le regard du cinéaste-spectateur est plus manifeste et Tchourikova/Ouvarova est souvent mise à l’épreuve de la durée du plan fixe, comme attendue au tournant. Le film, bien que plus long et plus lent, en acquiert une (…)

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La Fille du Far West - la critique + le test DVD

Sans vouloir minimiser l’apport de De Mille, il est probable que sa mise en scène s’appuie largement, pour cette première adaptation de la pièce à succès de David Belasco (1905), sur des productions théâtrales antérieures et qu’il avait certainement en tête aussi l’opéra La fanciulla del West, crée à grand renfort de publicité au Metropolitan Opera de New York le 10 novembre 1910 (avec Caruso dans le rôle de Dick Johnson). Le sang du bandit caché tombant sur la main du shériff et la partie de poker qui s’en suit constituent en effet un des sommets dramatiques de la partition de Puccini. Il (…)

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D’acier - la critique

Adapté d’un roman de Silvia Avallone, le second film de fiction de Stefano Mordini, après "Provincia meccanica" (2005), cherche manifestement à échapper aux pièges de la "tranche de vie" et du constat sociologique au profit d’une espèce d’immersion contemplative. La splendide photo du regretté Marco Onorato (collaborateur fidèle de Garrone) et un formidable travail sonore qui rend volontairement les dialogues en partie inintelligibles (un effet malheureusement gâché par les sous titres) célèbrent l’éblouissement de l’été et magnifient la beauté des paysages industriels de Piombino et de (…)

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Au revoir l’été - Kōji Fukada - critique

Dans cette radieuse comédie météorologique gravement frivole, Kôji Fukasa assume ses références à Rohmer (les films de bord de mer surtout) et Hong Sang Soo, ou encore Naruse et Ozu (On pense aussi à Shimizu, notamment lors de la séquence de l’étang). Mais, loin de peser sur lui, ces influences revendiquées nourissent ce film léger qui réussit, avec une douceur qui n’exclut pas la crudité (ni la cruauté), à articuler beaucoup de choses du jeu amoureux mais aussi de l’état du monde et de la place qu’y occupe chacun. Il trouve la juste note musicale pour alier l’explicite à la délicatesse du (…)

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Un frère et sa petite sœur - la critique

Entre comédie familiale et drame social, ce très beau film, léger et grave à la fois, est une oeuvre majeure de Yasujirô Shimazu, cinéaste méconnu auquel la MCJP consacre une rétrospective jusqu’au 16 octobre 2010.

Okoto et Sasuke - La critique

Adapté d’un roman de Tanizaki, cette terrible histoire d’amour non dit et de sacrifice est traitée avec une infinie délicatesse par Yasujirô Shimazu et superbement interprétée par l’immense Kinuyo Tanaka.

Les trois prétendants - la critique

Destinée à mettre en valeurs trois jeunes premiers en début de carrière, cette comédie enlevée et pleine de charme est un pur produit de studio transcendé par la touche Shimazu, auquel la MCJP consacre une mini-rétrospective.

Les oiseaux, les orphelins, et les fous - La critique + Le test DVD

Etourdissante et poignante sarabande carnavalesque, le troisième long-métrage de Jakubisko, censuré pendant vingt ans, est un authentique chef d’oeuvre baroque.

Les lumières d’Asakusa - La critique

Cet ahurissant mélange de mélo, film noir et comédie musicale est transcendé par le regard de Shimazu, authentique (et grand) cinéaste.