Critique

CINÉMA

Tu marcheras sur l’eau

Fiche film

Le 5 janvier 2005

  • Blandine H 8 avril 2005
    Tu marcheras sur l’eau

    superbe film sur la tolérance, le pardon, l’amitié. Des acteurs très justes. Une histoire vraisemblable et d’actualité. Sujet traité sans mièvrerie, ni sensiblerie, ni manichéisme : C’est donc à la fois beau, fin, intelligent, émouvant. Un mélange de langues : hébreu, allemand, anglais. Un régal. Allez-le voir !

  • nabou_bou 17 avril 2005
    Tu marcheras sur l’eau

    ce film est un film genial il montre vraiment la vie en israel et sa c’est bien

  • igaelle 24 avril 2005
    Tu marcheras sur l’eau

    De Tel Haviv à Berlin, sur fond de musiques insolites qui ravissent nos oreilles, un jeune Allemand va découvrir l’existence d’un grand-père nazi caché par des parents attentifs à la survie de l’aieul. Discorde familiale étouffée, cachée qui n’éclatera que pour mieux rapprocher Eyal, jeune agent du Mossad, Axel et sa sœur.

    Une rencontre entre trois personnages que l’Histoire sépare ; quatre personnages en comptant le jeune Palestinien que rencontre Eyal dans une soirée à Tel Haviv.
    Par ce triptyque insolite et polyglotte, le réalisateur pousse chacun des personnages dans leurs retranchements les plus intimes et fait mouche. S’il est un exercice dangereux de rapprocher le passé nazi et le drame qui se déroule sous nos yeux au Proche-Orient, la difficulté n’a pas fait reculer Eytan Fox qui, pendant 100 minutes nous donne un cours de relations internationales à échelle humaine, au plus près de l’expérience de chacun d’entre nous.
    Sans préjugé ni parti pris, ce film n’est rien d’autre qu’une volonté de montrer la complexité des situations historiques dont chacun hérite pour le meilleur ou pour le pire.

  • Norman06 21 avril 2009
    Tu marcheras sur l’eau

    Un habile mélange des genres (thriller d’espionnage, road-movie érotique, chronique sentimentale) dans cette oeuvre "politiquement correcte" qui brasse avec sincérité plusieurs thèmes (la chasse au criminel nazi, le conflit israélo-palestinien, l’homosexualité...). Un dénouement un peu mièvre mais deux acteurs convaincants : Lior Ashkenazi et le charismatique Knut Berger, véritable révélation.

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