Le 14 mai 2015
- Réalisateur : Gabriele Muccino
- Acteurs : Will Smith, Rosario Dawson, Woody Harrelson
- Genre : Drame, Mélodrame, Nanar
- Nationalité : Américain
- Durée : 2h03mn
- Titre original : Seven Pounds
- Date de sortie : 14 janvier 2009
- Plus d'informations : Le site du film
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frederic Malengrez 17 janvier 2009
Sept vies - La critique
"Sept vies"...un film ...dur et sans concession...
Will smith, contrairement à ce qu’on raconte (voir la critique en tete de ce site) vient d’apparaitre dernierement dans 2 films poignants..loin de la comédie...n’oublions pas non plus son interprétation dans "Ali"...
Ceci étant dit....will smith se trouve à sa place dans le film trés réussi "sept vies".
Un film qui commence d’une façon fort bancal...pour finir droit et rigide..secret de création chér aux cinéastes de la nouvelle vague..et des cinéastes défendus par cette nouvelle vague...
Le film flotte pendant une premiére demie heure..il n’y aura pas de présentation de personnage..ni d’intrigue..laissant plané un doute qui nous envahi peu à peu...un "malaise"...se doute se révele alors ...et devient une certitude ...La culpabilité....en un tour de force cette culpabilité vient nous habiter..peu à peu..nous pointant du doigt, par instant...une culpabilité latente..rien de mieux ..rien de plus difficile de jouer sur ce théme....le réalisateur reussi avec fougue et ferveur à jouer sur l’intériorité de son personnage...à faire de ce personnage un symbole ...une icône...une empreinte ..fait d’humanité que détient (en toute normalité) tout spectateur...(si le contraire est : le conseil est de se vautré dans l’adultére tout en restant intégre vis à vis de son époux/se ou conjoint/e...mettre à l’épreuve la culpabilité qui réside en chacun de nous ..transmis par les codes de nos civilisations)....
Une empreinte, disais je, de sensibilité et d’humilité...
Sans dévoiler le scénario...il convient de faire l’approche des points qui s’enchainent...aussi, nous passons d’un état de flottement ..à la culpabilité...à la générosité ..à la bonté ..à l’amour... à la mort...et ...enfin la renaissance... scénario irréprochable...Il y a effectivement un rapport Christique, une affiliation avec le Christ...faire don de soit...le film montre ceci... sans pour autant faire l’apologie d’une religion...
Là, aussi, il convient de mettre l’accent sur ce tour de force...ce n’est pas un film "à message"...sujet et thématique chers à une fange de lecteur/spectateur/etc.. (par ironie : disons que "seul le facteur apporte des messages")...
Abordons la 1ere heure du film...les personnages se mettent en "place" ils ne trouvent pas leurs repéres,car c’est le spectateur qui fait le travail...habillement aidé par le montage du film et sa mise en scéne....
L’amour suit alors...mais cet amour n’a rien à voir avec celui trés répandu ..qui court les rues...c’est un exemple de Passion (tel la Passion christique)...une obsession ..un sentiment peu banal et quotidien...c’est une "dévotion" pure et simple...
L’amour naissant entre cette femme handicapé physiquement et cet homme meurtri dans "l’âme"..se transforme ..change peu à peu ...
(il fallait que ce soit lent..que cet amour ,disons quotidien, celui que nous avons la chance (pour un grand nombre de spectateurs)de connaitre ou d’avoir connu..qui se change d’ailleurs,en tendresse(si on n’y prend garde) au fil de nos vie) ...que ce sentiment naissant, "théme " de prédilection de la comédie sentimentale)...trouve un autre visage..se métamorphose...en une parfaite dévotion...La résurrection clos la projection...
Parlons de la mise en scéne...il existe deux façons de "faire" un film...2 maniéres de "mettre en scéne"
1)En ecrire le sénario et passer au tournage...diriger les acteurs sur le plateau ..(chronometrage des scénes et séquences..choix de plans..etc.
2) En faire le montage...redécouper les séquences tourneés...éliminer ..couper
C’est deux façons doivent etre complémentaire....Nombre de films sont sauvés par un montage astucieux..et inversement..le gachis peut etre au rendez vous..
Deux maniéres d’opérer...Le réalisateur le plus talentueux alliant celà, étant Clint eastwood...ou encore Woody allen...Night Shyamalan et moins contemporain : jean Renoir...etc...
Le réalisateur de "Juste un baiser" et de "sept vies" peu se ranger dans le même tiroir...
Ce sénario nous montre un sauveur ....différent, car choissisant ceux qui valent la peine d’etre sauvés...( il croisse ces personnages et les "testent")..ce senario en dit plus que "l’histoire" religieuse..et nous donne à voir les causes et "motivations" de vouloir faire don de soit pour sauver des vies...ici : la culpabilité
Les sept personnages ne seront pas abordé suivant la même longueur...choix satisfaisant...
Je mets ici "une note" à ce film par le biais de ce logotype...mais le cinéma n’est pas une compétition sportive...
Si vous étes dépourvus de sentiments simples et humains...retrouvez votre fauteuil de cinéma...sinon il est bien triste de constater votre manque sensoriel...simple et pure...
nourelbh 10 avril 2020
Sept vies - La critique
Nothing’s compared to people’s live and nothing is more valuable than a human’s life ! so when it comes to it ! atonement only comes with another life !
what if we all stood for our mistakes’s atonement ?