Le 13 mars 2012

- Festival : Le Festival Terra di Cinema
Un festival transalpin sur Paris avec un joli lot d’avant-premières, du 28 mars au 3 avril.
Un festival transalpin sur Paris avec un joli lot d’avant-premières, du 28 mars au 3 avril..
Le cinéma parisien Le Nouveau Latina (4e) accueillera un festival 100% transalpin entre le 28 mars et le 02 avril. Au programme, outre des manifestations diverses à l’occasion d’un salon dédié à la cinéphilie italienne, on pourra redécouvrir un Dino Risi de 1963 (Il Giovedi), des docus politiques, historiques et sociaux, ainsi que de nombreuses avant-premières de fiction dont voici la liste :
QUANDO LA NOTTE de Cristina Comencini
L’argument :Marina, jeune femme fragile et anxieuse, décide
de passer les vacances d’été à la montagne avec
son enfant. Elle loue un appartement à Manfred,
un guide de montagne bourru, qui se méfie des
femmes et préfère garder ses distances. Jusqu’au
jour où un événement douloureux les oblige à se
rapprocher l’un de l’autre…
SCIALLA ! de Francesco Bruni
L’argument : Bruno Beltrame, ancien écrivain, donne à
présent des cours particuliers. Parmi ses élèves
il y a Luca, aussi peu studieux que les autres
mais vif et irrévérencieux. Un jour, la mère du
garçon vient voir Bruno pour lui apprendre
que Luca est son fils, un fils dont il a ignoré
l’existence. Elle doit partir travailler en Afrique
et elle n’a personne à qui le confier.
ULIDI, PICCOLA MIA de Mateo Zini
L’argument : Un prêtre âgé vit très mal la déconsécration
de son église et le fait qu’il se retrouve privé de
tout rôle social. Mais un groupe d’émigrants
clandestins trouve refuge dans cette “église”.
TATANKA de Giuseppe Gagliardi
L’argument :Vivre pour la beauté du sport ou dans l’enfer
de la mafia, Michele est tout au long de sa vie
face à ce choix.
IL VILLAGIO DI CARTONE d’Ermanno Olmi
L’argument : Un prêtre âgé vit très mal la déconsécration
de son église et le fait qu’il se retrouve privé de
tout rôle social. Mais un groupe d’émigrants
clandestins trouve refuge dans cette “église”.
ULIDI, PICCOLA MIA de Mateo Zini
L’argument : Fille d’une femme musulmane et d’un paysan,
Paola est divisée entre deux cultures très différentes l’une de l’autre. Elle devra affronter, après
une longue période de souffrance, toutes les difficultés liées à la fin de l’adolescence e de l’entrée
dans l’âge adulte.