Le 17 janvier 2019
- Acteur : Keanu Reeves
- Date de sortie : 22 mai 2019
- Voir le dossier : La saga John Wick
Attendu en mai prochain, le troisième opus des mésaventures musclées du plus performant des tueurs à la retraite dévoile deux affiches teasers et une première bande annonce.
Résumé : John Wick, excommunié du Continental après en avoir bafoué les règles, est poursuivi par une horde de tueurs venant du monde entier.
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News : En 2014 débarquait en salles une excellente surprise : John Wick, ou l’histoire racée et claire comme de l’eau de roche d’un tueur récemment veuf se faisant voler sa voiture et tuer son chien, en sus d’une humiliation qui n’allait pas le laisser de marbre. Histoire défraîchie, se situant entre le conte de vengeance et l’histoire du sicaire s’extrayant de sa retraite afin de régler d’ultimes comptes, qui ne manque pas d’échantillons en la matière et que nous ne nous harasserons pas à citer dans le présent article.
Son aboutissement résidait dans sa réalisation, superbe, qui mettait en valeur de non moins éclatants combats très chorégraphiés (les réalisateurs étant un duo d’anciens cascadeurs), bien loin du travers des mouvements de caméra hérités de la saga Jason Bourne, filmage qui avait la fâcheuse tendance à rendre illisible les scènes de bastons. Une mini-révolution, donc, qui rapporta, pour une mise de départ de 20 millions de dollars, un joli butin estimé à 88 millions à l’international.
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Trois ans plus tard, tandis que David Leitch change de braquet, préférant jouer au bon petit soldat efficace à la solde des studios (Atomic Blonde, Deadpool 2 et bientôt Hobbs & Shaw), la suite directe des aventures de Wick (qui a un nouveau chien) arrive en salles, réalisée par le seul Chad Stahelski, et explose, avec un budget multiplié par deux, les attentes (un univers de cinéma approfondi et passionnant, les meilleures scènes d’actions vues depuis un moment au cinéma, une réalisation toujours au sommet) et les compteurs (il rapportera à l’international deux fois plus d’argent que l’opus initial, soit plus de 171 millions de dollars). S’achevant sur une fin ouverte, avec la promesse surexcitante d’un troisième volet, John Wick 2 est toujours un fleuron du genre.
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Grâce à de pareils résultats, Stahleski peut promptement mettre en branle l’ultime volet de la nouvelle trilogie-phare de la carrière de Keanu Reeves, dont la simple épigramme (Parabellum, soit, du latin, « prépare la guerre ») fait miroiter une conclusion à la hauteur des attentes. Les défis sont engageants : agrandir l’univers dévoilé (Wick voyagera dans le monde entier, où il rencontrera divers personnages), offrir de solides interprétations (la distribution est des plus prometteuses, avec Halle Berry en alliée de circonstance et Mark Dacascos pour les nouveaux arrivés, et les anciens Common, Laurence Fishburne et Ian McShane) et présenter des scènes (au moins) aussi sensationnelles que dans le long-métrage précédent afin de clore en beauté une trilogie à l’aura de culte grandissante.
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L’on commençait à désespérer, car le film sera dans toutes les salles à partir du 22 mai et n’avait jusqu’alors dévoilé que quelques images de tournage, jusqu’à ce qu’une première affiche annonce, imageant ingénieusement le bannissement du protagoniste, soit publiée (voir ci-dessous), et une vidéo bien appétissante vient confirmer que le bonheur se vivra bien en mai.
#JohnWick3
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