Le 30 juin 2009

- Plus d'informations : http://www.danslenoir-lapiece.fr
aVoir-aLire s’exporte au théâtre avec une pièce qui nous tient particulièrement à cœur et pour cause...
aVoir-aLire s’exporte au théâtre avec une pièce qui nous tient particulièrement à cœur et pour cause...
Avant de devenir le meilleur site de cinéma au monde, ce n’est pas moi qui le dit, mais Steven Spielberg, si, si, il me l’a confié lors d’un rêve, aVoir-aLire parcourait la culture à grands coups d’article littéraire et musical et s’aventurait même sur les chemins sinueux du théâtre parisien. Notre grand spécialiste du texte déclamé, qui ne ratait jamais l’occasion de se repaître de soirées sur scène, était alors Georges Ghika, bien connu dans cet illustre milieu. Secrètement, Georges caressait depuis longtemps l’idée folle de monter sa propre pièce. C’est aujourd’hui chose faite : le rêve d’un môme féru de théâtre, vif d’esprit et à la plume espiègle, va enfin prendre vie du 7 au 9 juillet au Théâtre de l’Orme (Paris - XIXe) avec un spectacle qui nous tient d’autant plus à cœur qu’il a été coécrit par Laurence Morel-Seguy, la fondatrice même de notre site, qui travaille depuis toujours dans les coulisses de notre webzine.
Alors oui, Dans le noir - c’est le nom de ce micro événement estival -, ce n’est pas du cinéma et donc le spectacle n’a a priori aucune raison de faire l’objet d’un édito sur notre présent site. Mais voilà, par essence, en témoigneront tous ceux qui nous ont suivis depuis nos débuts et évidemment tous ceux qui auront un moment partagé notre rédaction, il s’agit là de l’essence même de notre magazine. Aussi, oubliez les accusations mesquines de pub déguisée ; ce n’est pas le cas. Il s’agit là d’un vrai coup de cœur doublé même d’un pincement de cœur nostalgique pour toute cette longue histoire parsemée de rencontres fabuleuses, de hauts et de bas et également marquée d’une soif intarissable d’écriture et de partage d’idées. Aussi, n’hésitez pas à rendre justice à cet esprit qu’est celui d’aVoir-aLire, en allant rendre un bel hommage au travail de Georges et de Laurence. Parce qu’ils le valent bien...
Sans oublier Marianne...