Le 14 novembre 2017
- Scénariste : John Allisson>
- Dessinateur : Lissa Treiman
- Coloriste : Whitney Cogar
- Genre : Humour
- Editeur : Akileos
- Famille : Comics
- Date de sortie : 14 septembre 2017
- Durée : 2
Disponible sur
Esther, Daisy et Susan reviennent pour le deuxième tome de Giant Days et leurs mésaventures estudiantines démarrent en trombe avec le bal de Noël avant d’enchaîner sur les vacances d’hiver puis les inévitables examens de rentrée ! Notre trio de choc est loin d’être au bout de ses peines mais heureusement car sinon, nous arriverions au bout de nos fous rires.
Résumé : Esther, Daisy et Susan reviennent pour le deuxième tome de {Giant Days} et leurs mésaventures estudiantines démarrent en trombe avec le bal de Noël avant d’enchaîner sur les vacances d’hiver suivi des inévitables examens de rentrée ! Notre trio de choc est loin d’être au bout de ses peines mais heureusement, car sinon, nous arriverions au bout de nos fous rires.
Giant Days marque le retour aux années fac en compagnie de ces trois amies de choc. Pour vous immerger, allez donc lire notre chronique consacré au tome un.
Ce nouveau tome en est la suite directe. L’humour est toujours présent et bien sûr ponctué d’incroyables rebondissements qui parfois, il est vrai, nous éloignent du réel. Ce sont les événements de la vie de tout étudiant qui sont passés au crible : le shopping pour les robes de bal, les règlements de compte dans les patelins d’origine ou encore la gestion du rhume et aussi des partiels. Tout un tas de déboires que nos héroïnes gèrent chacune à sa manière, ouvrant l’horizon des possibles.
John Allisson garde toujours la main au scénario mais Lissa Treiman passe la plume à Max Sarin au milieu de cet opus.
Deux styles différents même si on retrouve le graphisme et les caractéristiques des personnages. Le trait de Lissa donne une impression de légèreté alors que les contours sont bien plus marqués (au niveau du dessin et même des cases) que chez Max Sarin. Les traits plus fins et les références manga d’expressions de visage utilisés par Max Sarin donne une énergie et une dynamique au déroulement de l’histoire, mais on perd un peu de cette présence, imposée par le trait de Lissa Treiman.
Et pour conclure ce volume, après une galerie de couvertures, un court carnet de croquis vous attend à la fin. L’occasion de découvrir les crayonnés des personnages et de constater déjà les postures trouvées par Lissa Treiman et l’énergie qui s’en dégage.
Nous ne pouvons que vous laisser seul juge de ces deux styles graphiques. Mais soyez bons et ne laissez pas Susan, Esther et Daisy affronter leur destin toutes seules !
112 pages – 12€
