Fast & Furious 7 : démarrage sur les chapeaux de roue

Cela sera donc le plus gros succès de la saga...

Difficile d’échapper au craquèlement de bitume provoqué par la sortie autoroutière de Fast & Furious 7. Fêtards de la bonne pellicule bourrin et mélancoliques du beau Paul Walker, ont célébré cette grand-messe de l’action mastodonte, sortie en avant-première mondiale en France le mercredi 1er avril.
Avec 3.439 spectateurs dans 18 salles intra-muros, seulement, la moyenne était généreuse, plus de 191/écran. Le 6e volet avait battu des records en France pour la franchise, avec une première séance parisienne à 2.419, une première semaine France à 1.546.000, et un total tonitruant de 2.994.000 entrées contre 2.517.000 entrées pour le meilleur épisode de la saga, qui se déroulait dans les favelas de Rio, Fast & Furious 5.

Universal devrait pour la première fois dépasser les 3 millions d’entrées pour un épisode de la saga, et prévoit un score mirobolant de 115M$ pour le premier week-end aux States (sur près de 4.000 sites, aucun concurrent face à lui !), voire en fin de carrière, le milliard pour l’international.
Le studio qui compte encore mettre en route 3 nouveaux épisodes, a déjà réalisé un beau coup en 2015 avec 50 nuances de Grey (plus de 560M$ dans le monde), et souhaite placer, grâce aux marchés émergeants, Fast & Furious 7 parmi ses meilleures recettes historiques, entre Les Dents de la mer, E.T., Jurassic park ou encore Moi, Moche et Méchant 2.
On notera, parmi les sorties de ce mercredi, l’allant de Shaun le Mouton, qui a séduit 2.252 agneaux, et le courage de Journal d’une femme de chambre, de Benoît Jacquot, fort de la présence de Léa Seydoux, qui disposait à Paris 14h de 1.569 curieux. Un score solide, permis par une assise dans 21 salles.
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