Le 18 avril 2021
Un médecin est accusé d’avoir provoqué la mort de son associé par l’injection d’une trop forte dose de tranquillisants. Il sera acquitté quelques années plus tard par la cour d’assises des Alpes-Maritimes. Que s’est-il exactement passé ? Faites entrer l’accusé revient sur cette affaire.
News : Un médecin niçois est accusé d’avoir provoqué la mort de son associé, Pascal Vito, quarante-huit ans, que son ex-épouse retrouve mort, le 28 février 1996. La thèse du suicide est d’abord retenue, puisque le défunt était dépressif. Mais bientôt, le docteur Dominique Cosme est soupçonné de lui avoir administré une trop forte dose de tranquillisants. L’homicide involontaire sera d’abord retenu et le praticien sera ensuite renvoyé par un second juge devant le tribunal correctionnel, qui, persuadé du caractère intentionnel de l’acte, engendrera la poursuite de l’instruction, jusqu’au jugement du prévenu devant la cour d’assises des Alpes-Maritimes, en 2009. Les jurés voteront l’acquittement, suivant le réquisitoire de l’avocat général Eric de Montgolfier, qui s’était prononcé contre la condamnation du médecin.
aVoir-aLire.com, dont le contenu est produit bénévolement par une association culturelle à but non lucratif, respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. Après plusieurs décennies d’existence, des dizaines de milliers d’articles, et une évolution de notre équipe de rédacteurs, mais aussi des droits sur certains clichés repris sur notre plateforme, nous comptons sur la bienveillance et vigilance de chaque lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe. Ayez la gentillesse de contacter Frédéric Michel, rédacteur en chef, si certaines photographies ne sont pas ou ne sont plus utilisables, si les crédits doivent être modifiés ou ajoutés. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.