Le 24 juillet 2012

- Réalisateur : Brillante Mendoza
- Acteurs : Isabelle Huppert, Kathy Mulville, Marc Zanetta
- Genre : Drame
- Nationalité : Britannique, Français, Allemand, Philippin
- Durée : 1h52mn
- Date de sortie : 19 septembre 2012
- Plus d'informations : http://captive-lefilm.com/
Pour les fans d’Isabelle Huppert, voici l’affiche de son nouveau long métrage, où elle est dirigée par le réalisateur Philippin Brillante Mendoza...
Pour les fans d’Isabelle Huppert, voici l’affiche de son nouveau long métrage, où elle est dirigée par le réalisateur Philippin Brillante Mendoza (Kinatay, Serbis...
L’argument : Une vingtaine de ressortissants étrangers sont pris en otage à palawan, aux philippines,
par le groupe Abu Sayyaf, des musulmans terroristes qui se battent pour l’indépendance de l’île de
mindanao. Alors qu’elle apporte des provisions au siège d’une Ong en compagnie d’une autre
bénévole philippine, Thérèse bourgoine, citoyenne française qui travaille dans l’humanitaire, est
kidnappée à son tour…
Brillante Mendoza s’exprime sur Captive - Extrait du dossier de presse : Les événements décrits dans Captive se basent sur les prises d’otages qui ont eu lieu
aux philippines, les enlèvements de l’hôtel Dos palmas à palawan, en 2001, et d’autres
enlèvements commis par le groupe Abu Sayyaf (gAS) et autres organisations séparatistes similaires. Les rapports officiels diffèrent, mais en l’espace d’environ une année, il
y eut de nombreuses attaques et, en différents endroits, plus de 100 personnes furent
enlevées et maintenues en captivité dans l’attente d’une rançon. Des dizaines d’otages,
de soldats et de ravisseurs furent tués au cours de ces événements tragiques. pour Captive, j’ai fait comme si l’ensemble du film traitait d’un seul événement réel. Le script
est tiré de mes recherches approfondies sur certains enlèvements, sur les endroits où ils
se sont vraiment produits, ainsi que sur les témoignages de survivants, de ravisseurs, de
militaires, et d’autres personnes ayant pris part et/ou assisté à ces événements. Le film
comporte environ 25 % d’éléments fictifs ; ce sont pour la plupart des personnages et
des scènes que j’ai jugés nécessaires à des fins de mise en valeur et de dramatisation.