Critique

CINÉMA

CQ

Deuxième vague

Le 29 janvier 2003

Un Godard qu’aurait vampé Barbarella.

  • Norman06 12 septembre 2009
    CQ

    Référentiel, forcément référentiel. En situant son récit l’année ô combien érotique et post soixante-huitarde, Roman Coppola rend hommage à la période qui vit débuter son père au cinéma mais aussi à un tout un pan des sixteen movies : la série B fauchée de qualité bien sûr et la Nouvelle vague surtout. Les deux films dans le film (journal intime auteuriste et film de genre dans lequel on peut inscrire sa marque) semblent ainsi traduire la dualité des objectifs professionnels du cinéaste.
    Le résultat n’est pas désagréable (même si rien n’est transcendant), car jamais Coppola fils ne dévie vers l’autosatisfaction et ne semble se prendre au sérieux.

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