Le 17 décembre 2009

- Voir le dossier : Bilan années 2000
Il est difficile de choisir uniquement 10 films pour ce top de la décennie, certains films méritant également qu’on se souvienne d’eux.
Il est difficile de choisir uniquement 10 films pour ce top de la décennie, certains films méritant également qu’on se souvienne d’eux.
Mon bilan : Une décennie riche en très grands films, marquée par la confirmation et l’éclosion de réalisateurs géniaux (Eastwood, Spielberg, Fincher, Scorsese, Cronenberg, Tarantino d’une part et Nolan, Kelly, Aronofsky d’autre part), la naissance et/ou la conclusion de grandes sagas du 7° art, des avancées techniques de plus en plus impressionnantes, notamment en cette toute fin de décennie (tout le monde aura compris de quel film je parle).
Mais à l’opposé ces dix années auront vu également la multiplication des films aseptisés, montés par des producteurs pour attirer le plus grand monde et en choquer le moins possible, prenant le minimum de risques en enchaînant les suites et les remakes.
Heureusement que quelques irréductibles subsistent pour imposer leur vision.
– 1 Gladiator
– 2 The dark knight
– 3 Zodiac
– 4 Star Wars épisode 3 : la revanche des Sith
– 5 Le seigneur des anneaux
– 6 Arrête-moi si tu peux
– 7 Les infiltrés
– 8 Memento
– 9 A history of violence
– 10 Donnie Darko
Quelques autres films qui ont compté pour moi : Je ne peux pas ne pas citer quelques films qui comptent également parmi les meilleurs de cette décennie comme Minority report, Sleepy hollow, Snatch, Kill Bill, Mystic river, Sin city, V pour Vendetta, Lord of war, King Kong, Le prestige, Les fils de l’homme, La nuit nous appartient, Gone baby gone, Into the wild, No country for old men...
– Le film le plus important de la décennie : Avatar
– Le plus grand choc : Requiem for a dream
– L’oeuvre la plus émouvante : Million dollar baby
– L’oeuvre la plus drôle : Hot fuzz
– Le bide le plus immérité : Zodiac
– Le succès le plus surfait : Twilight
– Le plus nul : Dragon ball evolution
– Le réalisateur de la décennie : Clint Eastwood
– La révélation de la décennie : Christopher Nolan / Richard Kelly