Johnny English - coup d’oeil

Mr Bean aux services secrets de sa majesté...

L’argument : Dans un monde déboussolé, peu d’institutions sont aussi fiables que les services secrets britanniques. Leurs super agents, leurs réseaux internationaux et leur panoplie high tech en font l’ultime bastion de l’Honneur, du Devoir et de la Vérité. Informés d’un complot contre les Joyaux de la Couronne, les services secrets mettent sur le coup leur agent n°1 ; mais il se fait tuer et la sécurité du pays et la protection des Joyaux de la Couronne ne reposent alors plus que sur les épaules d’un seul homme : Johnny English. Il ne craint rien et ne comprend rien. Ce n’est pas le meilleur des agents... C’est le seul.

Coup d’œil : Johnny English peut être vu comme une parodie de James Bond, et le parallélisme semble d’autant plus troublant que les scénaristes de la comédie, Neal Purvis et Robert Wade, se sont distingués par le scénarion de Le monde ne suffit pas et Meurs un autre jour, les deux derniers épisodes des aventures de l’agent 007. Mais ce personnage est aussi inspiré d’une série de spots publicitaires dont Rowan Atkinson a été le héros de 1992 à 1997. Ces spots, publicité pour une carte de crédit, mettaient l’acteur dans la peau d’un espion gaffeur, victime d’accidents à répétition.