Le 25 octobre 2014
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A l’occasion de la sortie du documentaire Go Go Boys sur l’ascension fulgurante de la mini major israélienne Cannon, retour sur une page unique de l’histoire du cinéma, marquée par les noms de Stallone, Dudikoff, Charles Bronson, Van Damme...
Nous parcourrons quelques titres d’une filmographie haute en couleur, mais toujours passionnante. La liste n’est pas exhaustive !
The Go-Go Boys : la folle histoire de Cannon Films, critique du documentaire
– Aladin (Superfantagenio) : les aventures Z de Bud Spencer sur un tapis volant. Flop.
– Allan Quatermain et la Cité de l’or perdu (Allan Quatermain and the Lost City of Gold) : suite du remake, toujours avec Richard Chamberlain et Sharon Stone. On est alors en 1987 et plus personne ne se déplace pour voir ces sommets de médiocrités où tout sonne faux. Sharon Stone devra attendre Verhoeven et Total Recall pour voir sa carrière relancée !
– Allan Quatermain et les Mines du roi Salomon (1985) (King Solomon’s Mines) : Sharon Stone est une révélation de charme dans ce navet d’aventure plutôt sympathique, et gros succès en 1985. Ce remake est aussi l’occasion pour l’acteur des Oiseaux se cachent pour mourir, l’assez insupportable Richard Chamberlain, d’obtenir le seul vrai succès cinématographique de sa carrière. 947.000 entrées en France !
– American Warrior (American Ninja) et American Warrior 2 (Avenging Force) de Sam Firstenberg. Parmi les nombreux films de ninja de la firme, on notera ces deux productions bien cotées en France. Avec 869.000 entrées le premier est un triomphe inattendu qui transforme Michael Dudikoff en star instantanée du cinéma d’action. Le deuxième volet, qui n’est pas une suite, mais un titre d’exploitation, réalise tout de même 550.000 entrées en décembre 1986. Sortiront en DVD American Warrior 3 (American Ninja 3 : Blood Hunt) et American Warrior 4 (American Ninja 4 : The Annihilation).
– Les Aventures d’Hercule (Le Avventure dell’incredibile Ercole) de Luigi Cozzi avec Lou Ferrigno. Une belle affiche de cinéma qui faisait rêver les enfants en 1984, mais rien d’autre à sauver dans cet illustre nanar, post Conan !
– Les Barbarians (The Barbarians). Carton estival avec deux endives musclées en guise de star de cinéma. Cliquez sur le lien pour en savoir un peu plus.
– Barfly (Barfly) : l’un des meilleurs films jamais issus du répertoire de la Cannon. Très grand Barbet Schroeder, avec Mickey Rourke et Faye Dunaway en alcooliques non repentis, longtemps muri par l’auteur qui, huit ans auparavant, envisageait de mettre en scène un script de Bukowski. Cannon hérita d’un projet qui passa de plus d’un studio, notamment d’entre les mains d’EMI. Succès d’estime à 507.000 entrées en France, mais culte ! Le dernier grand film de Mickey Rourke au passage.
– Le Bayou (Shy People) : Jill Clayburgh et Barbara Hershey chez Konchalovsky. Ce Shy People passe totalement inaperçu en 1987 et fait partie de ces échecs en série qui vont condamner le studio, ici avec moins de 50.000 entrées France.
– Berlin Affair : 69.000 entrées Paris pour le nouveau film de la sulfureuse Liliana Cavani (Portier de nuit), avec Gudrun Landgrebe, révélée dans La Femme flambée. Entre exploitation et film d’auteur, le scandale n’a pas lieu et cette œuvre malaisée tombe dans l’oubli.
– BIM Stars (The Apple) : avec moins de 10.000 entres France, cette réalisation de Menahem Golan trouvera une rédemption partielle en VHS, chez Hollywood vidéo. Ce sont les prémices de Cannon et l’on oubliera très vite cette comédie musicale d’anticipation complètement ringarde !
– Bloodsport – Tous les coups sont permis (Bloodsport) : avec plus de 900.000 entrées durant l’été 1988, cette production lance Jean-Claude Van Damme comme une alternative sérieuse à Stallone et Schwarzy. Un triomphe, le dernier pour Menahem Golan et Yoram Globus, qui devront capituler.
– Bolero : John Derek filme Bo, son épouse et égérie, nue sur un cheval… Erotisme de pacotille, interdit au moins de 13 ans. Le buzz est certain, mais la nullité de ce roman photo dénudé, ne déplace pas les foules (62.000 sur Paris).
– La Cage aux vices (The Naked cage) : 47.000 entrées sur Paris pour ce pur produit d’exploitation, avec femmes en furie au cœur d’un établissement pénitencier. Le genre est bien connu, forcément déshabillé…
– Campus 86 (Dangerously close : Albert Puyn, remarqué pour son film d’heroic fantasy L’épée sauvage, propose une relecture du film Class 84, plutôt classe et stylé, avec le futur réalisateur John Stockwell dans un rôle de vilain, et la future James Bond girl Carey Lowell. Un produit solide qui ne reste que 3 semaines à l’affiche en août 86 (29.000 entrées France).
– Camorra (Un complicato intrigo di donne, vicoli e delitti) : la réalisatrice Lina Wertmüller, devenue rare depuis les années 70, célèbre pour avoir réalisé Pasqualino et Mimi métallo blessé dans son honneur, se fait produire par la Cannon, pour un drame sur la mafia. Camorra met en scène Angela Molina et Harvey Keitel. Avec 32.000 entrées sur Paris, le film passe inaperçu.
– Captain America (Captain America) : quand Marvel en est réduit à une série Z. Ce n’est plus vraiment Cannon qui produit, mais la 21st Century, nouvelle firme de Golan. Par un bon élève issue de la maison Albert Puyn. Nullissime, et DTV en France !
– Cobra (Cobra) : en octobre 1986 sort le film de George Pan Cosmatos. Stallone campe un flic brutal et rencontre sur le tournage sa future femme, Brigitte Nielsen. Le réalisateur de Rambo 2 la mission permet à sa star d’atteindre les 2.6M entrées, loin des scores de Rocky 4 ou Rambo 2. Début du déclin ?
– Cordes et discordes (Surrender) : sortie de façon rapide en France en janvier 88, cette comédie avec Sally Field, Steve Guttenberg et Michael Caine est un flop mondial. Cannon est sur le déclin.
– Cyborg (Cyborg) : sorti en 1988, le film donne un coup de mou dans la carrière de Jean-Claude Van Damme, qui ne réitère pas le succès de Bloodsport. Cette réalisation Albert Puyn, série B devant l’Eternel, n’est pas la pire !
– Dans les bras de l’enfer (Behind Enemy Lines) : série B estivale sortie vite fait en août 86. Le nom de John Carradine et une affiche burnée vaut au film un petit succès (64.000 entrées sur la capitale)
– Delta Force (The Delta Force) ; belle carrière à plus de 600.000 entrées France pour cette réalisation efficace de Menahem Golan, sur fond de détournement d’avion. Chuck Norris est aux affaires.
– Delta Force 2 (Delta Force II) : sorti en 1990, le film passe totalement inaperçu. Chuck Norris n’a plus aucune crédibilité, victime collatérale de la faillite de Cannon
– Delta Force 3 (Delta Force 3 : The Killing Game) : DTV de Sam Firstenberg, sortie en 1991 aux USA, le fils de Chuck, Mike Norris, remplace son père en tête d’affiche.
– Exterminator 2 (Exterminator 2) : Succès VHS pour cette pseudo suite au vigilante movie Le Droit de tuer (1980), distribué chez Hollywood Vidéo. En salle en 1985, le succès fut moindre (24.000 entrées sur Paris).
– Fool For Love (Fool For Love) : quand Golan Globus produisait Robert Altman, alors au creux de la vague ! Sélectionné à Cannes en 1986, le film met en scène quelques vedettes de Paris Texas (Sam Shepard, Harry Dean Stanton), et surtout le sex appeal de Kim Basinger qui sortait tout juste de la polémique de Neuf semaines et demie. Le film passe inaperçu avec moins de 100.000 entrées France.
– Héros (Hero and the Terror) : William Tannen met en scène un thriller avec tueur psychopathe lamentable, qui sera un échec cinglant pour Chuck Norris, qui jouait l’une de ses dernières cartes en salle. Un nanar estival sorti en août 1988. Déjà la fin pour la Cannon.
– L’Enfer de la violence (The Evil That Men Do) : avec plus de 876.000 entrées, ce Bronson réalisé par Jack Lee Thompson surfait, en 1984, sur la vague des Vigilante Movies, et notamment sur le succès colossal de la franchise des Justicier, que Cannon va essorer jusqu’au bout.
– L’invasion vient de Mars (Invaders from Mars) : Tobe Hooper retrouve ses producteurs de Lifeforce pour un nouvel hommage à la SF des années 60. Bide retentissant, et c’est bien dommage. Même pas 500.000 entrées en France.
– Invasion U.S.A. (Invasion USA) : à peine sorti de Vendredi 13 chapitre final (le 4, donc), Joseph Zito embraie sur un produit Cannon avec Chuck Norris et Richard Lynch. Cet ersatz nationaliste de L’aube rouge est un beau succès avec 625.000 entrées France. La carrière de Chuck Norris prend un nouvel élan.
– Un justicier dans la ville 2 (Death Wish 2)
– Le justicier braque les dealers (Death Wish 4 : The Crackdown) : film d’exploitation ringard, cet avant-dernier Justicier avec Charles Bronson, toujours réalisé par Jack Lee Thompson, est un bide retentissant.
– Le Justicier de minuit (Ten To Midnight) : pas vraiment un Justicier/Death Wish, mais fait office de... Avec 578.000 entrées, ce polar efficace n’est pas le plus gros succès de la saga.
– Le Justicier de New York (Death Wish 3) : en 86, Golan-Globus réalise un bon coup avec ce 3e volet de la saga des Justicier, Charles Bronson vieillissant a encore la cote auprès des Français : 740.000 entrées, tout de même !
– King Lear (King Lear) : le film de Godard échappa au contrôle de Cannon et qui sortit jamais en salle. Inclassable, victime de la faillite du système, ce film maudit est aujourd’hui une curiosité !
– Kinjite, sujets tabous (Kinjite : Forbidden Subjects) : sortie le 26 avril 1989, cette série B montre la fidélité de Bronson à ces vieux roublards de la Cannon. Toujours dirigé par Jack Lee Thompson, l’acteur n’est plus que l’ombre de lui-même, et le film est nul !
– Les Lauriers de la gloire (Field of honor) : production des Pays Bas maquillée en film d’action guerrier (la Guerre de Corée), avec le loup garou de Peur Bleue, Everett Mc Gill en tête d’affiche. Passe totalement inaperçu en mars 1987 avec 10.000 entrées Paris.
– Lifeforce (Life Force) : première collaboration entre Golan-Globus et Tobe Hooper, premier échec, malgré un beau budget et de ambitions certaines. Ce space opéra vampirique mange à tous les râteliers, mais échoue au box-office. En France, 564.000 spectateurs ont une révélation, Mathilda May, nue !
– La Loi de Murphy (Murphy’s Law) : l’un des flops de Charles Bronson dans les années 80, en 1986 pour être plus précis (110.000 entrées sur Paris). L’actrice Kathleen Wilhoite passe inaperçue.
– Love Streams (Love Streams) : quand Cannon produisait Cassavetes. 205.000 entrées en 1985. Pas le plus grand succès de l’auteur.
– Les Maîtres de l’univers (Masters Of The Universe) : adaptation kitsch avec Dolph Lundgren en Musclor, du jeu Mattel. Film de Noël 87, à 509.000 entrées tout de même !
– Massacre à la tronçonneuse 2 (Texas Chainsaw Massacre II) : sélectionné à Avoriaz en 1987, cette suite improbable et hystérique, qui met en scène Dennis Hopper en ranger ringard, est un bide cinglant durant l’été 1986 aux USA, et en France où elle ne dépasse pas les 100.000 entrées, malgré la caution de Tobe Hooper.
– Le Messager de la mort (Messenger Of Death) : Encore un Bronson, toujours dirigé par Jack Lee Thompson, sorti en août 1989. Un fond de tiroir que personne ne remarque !
– Mon aventure africaine (My African Adventure) : du pur cinéma de Boaz Davidson, cinéaste et producteur isréalien, roi du film d’exploitation bon marché (La boum Américaine, Le tombeur, le frimeur et l’emmerdeuse, Le dernier puceau américain), aujourd’hui toujours en activité sur des films comme Expendables. Cette comédie d’aventure pour enfants s’aventurait de façon dangereuse dans le domaine du film post-colonial, à la façon des Dieux sont tombés sur la tête mixé à du Bud Spencer. Bide.
– Maria’s lovers : Enorme succès pour ce drame romantique avec Nastassia Kinski, qui, un mois plus tôt, était à l’affiche de Paris Texas et Hôtel New Hampshire. Le film de Konchalowsky finit à 997.000 entrées, et devient l’un des plus beaux succès artistiques de la Cannon.
– Mata Hari : un film d’espionnage légèrement déshabillé avec Sylvia Kristel. Quelle mauvaise idée. Merci Cannon pour ce pur moment d’exploitation, mais 24.000 entrées sur Paris en avril 1985, c’est la bérézina. En 1981, Cannon avait déjà participé au financement de L’amant de Lady Chatterley, avec Sylvia Kristel. Just Jaeckin (Emmanuelle) dirigeait.
– Le Ninja Blanc (American Ninja 2 : The Confrontation) Cette suite à American Ninja est un succès surprise durant l’été 1987. Alors que la crise du cinéma fait des victimes, Le Ninja Blanc s’empare de la première place du B.O. la semaine de son lancement et achève sa carrière à 823.000 entrées. Le dernier succès de Michael Dudikoff en France.
– Ninja III (Ninja 3 the domination) : le nanar hilarant avec Lucinda Dickey, sorti à la rentrée 1985. Ce sommet dans la nullité réalisé par Sam Firstenberg, qui vaut pour son doublage, ses situations improbables et ses péripéties grotesques, récolte 20.000 entrées sur Paris. Culte !Il fait suite à L’implacable Ninja (1981), avec Franco Nero, et Ultime Violence.
– Othello (Othello) : Golan Globus produisent Zeffirelli, spécialiste d’opéras sur grand écran, et notamment sorti victorieux de La Traviata en 1983. Avec Placido Domingo dans le premier rôle, le film est un flop critique et artistique qui marque le déclin du genre dont le dernier grand succès restera Carmen en 1984.
– Over The Top, le bras de fer (Over The top) : sorti en avril 1987, le film est la 22e réalisation de Menahem Golan. Si la France percute (2M d’entrées), c’est le flop assuré aux USA. Les critiques sont assassines. Cette histoire de routiers et de bras de fer ne tient pas la route.
– Paiement cash (52 Pick-Up) : Cannon s’offre les services de John Frankenheimer, réalisateur, et de Roy Scheider et Ann Margret. Le polar sent le formol et laisse les tiroirs caisses vides en 1987 (34.000 sur Paris)
– Portés disparus (Missing In Action), Chuck Norris surfe à l’aise sur la vague du film de guerre au Vietnam post Rambo. Un Platoon de série B à plus de 837.000 entrées France, c’est le pactole ! On est en 1985 et Platoon, lui, ne sortira qu’en 1987 !
– Portés disparus 2 (Missing in Action 2 : The Beginning) : suite déjà ringarde, à moins de 500.000 entrées France.
– Braddock - Portés disparus 3 (Braddock : Missing in Action III) : première réalisation d’Aaron Norris, le frère de Chuck, le film passe totalement inaperçu en mars 1988. L’exploitation en salle n’est plus propice aux produits de série B bon marché. Même pas 100.000 entrées France !
– Platoon Leader (Platoon Leader) : 1989, Metropolitan FilmExport essaie difficilement de trouver quelques salles pour cette production Cannon avec Michael Dudikoff en pleine régression. Aaron Noris, frère de, réalise. Personne ne voit ce produit mal distribué.
– Protection rapprochée (Assassination) : Peter Hunt, un proche de Lee Marvin, qui a déjà dirigé Bronson dans Chasse à mort, est chargé de diriger le « Justicier » face à son épouse dans la vraie vie, Jill Ireland. Démodé, et particulièrement raté, cet avatar d’action échoue à 54.000 entrées sur Paris.
– La Rue (Street Smart) : alors qu’ils le dirigent dans Superman 4, Golan Globus profite de l’occasion pour demander à Christopher Reeves d’apparaître dans le dernier film de Jerry Schatzberg, qui est remarqué à la Quinzaine à Cannes (1987). Malheureusement, le public ne suit pas. A Paris, seuls 54.000 spectateurs se déplacent pour suivre les aventures de ce reporter émérite.
– Runaway train (1986) d’Andrei Konchalovsky. Le frère de Nikita Mikhalkov s’était fait un nom grâce à Maria’s lovers produit par Cannon, avec Nastassia Kinski. Inspiré d’un scénario de Kurosawa, Runaway train n’est pas un très gros succès en salle, mais existe comme l’une des plus belles réussites artistiques du studio. Avec Jon Voight et Eric Roberts. Sélectionné à Cannes.
– Sahara : Brooke Shields et Lambert Wilson, tous deux juvéniles, donnent du
charme au désert nord-africain. Le résultat, en 1984, ne fut guère convaincant. On passe.
– Superman 4 (Superman IV : The Quest For Peace) : le film qui enfoncera Cannon dans la banqueroute. Le studio abuse du système D pour une œuvre au budget conséquent, mais réduite à l’image d’une vulgaire série B/Z. La franchise est tuée pour plus de 20 ans. Avec 726.000 entrées France, cela sera le seul épisode de la saga à ne pas franchir le million… Sidney J. Furie, vieux routier des années 60, n’est pas à sa place dans un film à effets spéciaux.
– Le Temple d’or (Firewalker) : avec près de 150.000 entrées Paris et près du double en France, cette comédie d’aventure à la Allan Quatermain et Indiana Jones, essaie également d’exploiter le filon du Golden Child sacré par Eddie Murphy. Le résultat n’a pas été à la hauteur, en dépit de la présence de Lou Gossett. Le cinéaste Jack-Lee Thompson torchait ce buddy movie exotique.
– Le trésor de San Lucas (Down twisted) : distribué à la sauvette en mai 1988, cette comédie d’aventure flashy, avec une bande-son synthétique typique de l’époque, permet à Carey Lowell de retrouver le réalisateur Albert Puyn (Campus 86). Personne ne se déplace (28.000 entrées / Paris)
– The Kitchen Toto (1986) : tentative de produire des films de qualité, en l’occurrence un premier long métrage de Harry Hook, sur la situation incandescente au Kenya. Une œuvre nécessaire, malheureusement un peu oubliée aujourd’hui, mais l’un des grands films sur l’Afrique dans les années 80.
– Les Vrais durs ne dansent pas (Tough guys don’t dance) : l’un des derniers bons films de la Cannon à paraître sur nos écrans, en octobre 87, une réalisation inattendue par l’auteur Norman Mailer, avec Ryan O’Neil et Isabella Rossellini. Le polar passe inaperçu.
Les fans remarqueront que nous avons placés certains films sous silence, en particulier ceux du début des années 80, ou encore Hanoi Hilton, La Lambada, le film... La liste est longue et encore une fois, non exhaustive !
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