American party, Van Wilder relations publiques - la critique du film

Une suite de gags parfaitement immatures et stupides pour un film navrant de bout en bout.

L’argument : Le jeune Van Wilder au nom prédestiné, ne parvient pas à quitter l’université après sept années d’études. Il préfère se distinguer en aidant les garçons à trouver des filles en amusant la galerie. Heureusement, une jeune femme très intelligente et très amoureuse en dépit de leurs divergences, s’occupe de lui. Il est très troublé. Après une suite de gags et de situations qui l’opposent au méchant qui s’avère être aussi le futur fiancé de la jeune femme, il décide de passer ses examens... Et vous savez quoi ? Il réussit !

(C) Metropolitan Filmexport

Notre avis : Le réalisateur, Walt Becker, caractérise son film par trois F : fun, filles, fêtes. En réalité, les trois F tiennent pour fuck (baise), fart (péter) et fric. La suite de gags se voulant désopilants est une suite de blagues de potache.
Les Etats-Unis semblent peuplés par une espèce de jeunes adultes parfaitement stupides et bien étranges qui baisent comme des machines, font des blagues que vos mômes de huit ans trouveraient stupides et qui ne parlent que d’argent.
Un ou deux gags amusants mais franchement, allez à la plage ou faites de la marche à pied, vous trouverez bien quelques ados immatures pour vous péter à la figure, mettre du sperme de chien dans votre sandwich et prendre des airs de sainte nitouche, ce que sait très bien faire Ryan Reynolds, héros de la basse-cour. Le film a un peu de mal à démarrer et ce n’est qu’après une heure d’efforts consciencieux que le scénario se met en branle. Mais le film est déjà terminé et c’est sans un regret !