Le 12 novembre 2008
- Réalisateur : Brillante Mendoza
- Acteurs : Gina Pareño, Jaclyn Jose
- Genre : Drame, Érotique, LGBTQIA+
- Nationalité : Philippin
- Date de sortie : 12 novembre 2008
- Festival : Festival de Cannes 2008
Galerie photos
Le choix du rédacteur
Votre avis
Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.
aVoir-aLire.com, dont le contenu est produit bénévolement par une association culturelle à but non lucratif, respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. Après plusieurs décennies d’existence, des dizaines de milliers d’articles, et une évolution de notre équipe de rédacteurs, mais aussi des droits sur certains clichés repris sur notre plateforme, nous comptons sur la bienveillance et vigilance de chaque lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe. Ayez la gentillesse de contacter Frédéric Michel, rédacteur en chef, si certaines photographies ne sont pas ou ne sont plus utilisables, si les crédits doivent être modifiés ou ajoutés. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.
roger w 16 novembre 2008
Serbis (Service)
Ce nouveau film du cinéaste du très beau "John John" est nettement moins intéressant que le précédent même si la technique naturaliste du cinéaste est identique. L’histoire de cette famille n’est pas forcément très touchante et le seul véritable intérêt vient finalement du cadre particulier de ce cinéma porno. On note également un joli travail sur la sensualité des corps. Pas passionnant mais regardable.
Norman06 29 avril 2009
Serbis (Service)
On a reproché à l’auteur un récit excessivement glauque, un style amateuriste, une imagerie criarde et une bande-son assourdissante, les bruits de rue (klaxons, circulation) dégageant un volume de décibels particulièrement éprouvant. Mais des digressions insolites tempèrent un faux naturalisme : ce sont les images d’une (vraie) chèvre devant l’écran, suscitant un mouvement de panique dans la salle, ou celles d’un furoncle, symbole du caractère imprévisible du quotidien. Voilà tout compte fait un film d’atmosphère audacieux mais efficace (ses 90 minutes défilent vite).