Les disparus de 2014 : ils nous ont quittés cette année

Copyright RODEO DRIVE PRESS / VISUAL Press Agency

De Miklós Jancsó, poète du cinéma hongrois, auteur des sublimes Les sans-espoir et Ah ! Ça ira, à Joe Cocker, star rock et blues immortalisé dans le documentaire Woodstock, des noms prestigieux défilent. Parmi les acteurs, certains se sont révélés stars et comédiens immenses, à l’instar de Philip Seymour Hoffman ou Robin Williams, dont les disparitions soudaines ont ému un vaste public. Le légendaire Hollywood des studios a quant à lui perdu l’une de ses icônes les plus prestigieuses avec Lauren Bacall. Elle était l’un des derniers témoins d’un âge d’or qu’avait également côtoyé Luise Rainer, star aux deux Oscars, ainsi que Shirley Temple et Mickey Rooney. Ces deux stars enfants ont été adulées en leurs temps par les foules. Le second a connu une carrière prolifique pendant des décennies, rejoignant la galerie des grandes gueules de cinéma, à l’instar de Eli Wallach, l’inoubliable Tuco dans Le bon, la brute et le truand. Et si c’est le propre du cinéma d’être à la fois un art et une industrie, certains ont davantage été tentés par le film d’auteur, surtout lorsqu’ils ont opté pour la réalisation. Ce fut le cas de deux cinéastes aussi douées que Věra Chytilová, personnalité marquante de la Nouvelle vague tchèque des années 60 (Les petites marguerites), ou Helma Sanders-Brahms, qui contribua au renouveau du cinéma allemand des années 80 avec Allemagne, mère blafarde. Dans cette mouvance sans concessions du septième art se situent aussi les documentaristes Eduardo Coutinho, William Greaves, Harun Farocki, Michael Glawogger et Malik Bendjelloul, lauréat d’un Oscar il y a deux ans pour Sugar Man. D’autres artistes ont davantage choisi le grand spectacle de qualité. On peut ranger dans cette catégorie Richard Attenborough, comédien shakespearien hors pair et réalisateur du très Oscarisé Gandhi. Il s’est partagé entre l’interprétation et la mise en scène, tout comme Maximilian Schell, Oscar du meilleur acteur pour Jugement à Nuremberg, ou encore Harold Ramis, passé de devant (SOS fantômes) à derrière la caméra (Un jour sans fin). Plus radical dans la veine commerciale a été Menahem Golan, réalisateur et producteur dont le récent documentaire The Go-Go Boys : The Inside Story of Cannon Films a retracé la carrière. Une carrière aussi ambitieuse que celles des producteurs Saul Zaentz (Forman, Weir), Karl Baumgartner (Kusturica), Wu Tianming (Zhang Ymou), Kyoko Kujo (Terayama), Kuzui Kinshiro (Oshima), ou Run Run Shaw, personnalité influente de l’industrie du divertissement asiatique. Entre les deux voies de l’art (tendance Zsolt Kézdi-Kovács) et l’industrie (tendance Andrew McLaglen) se situent les scénarios de Jean Cosmos pour Tavernier (La vie et rien d’autre), Rémy Waterhouse pour Leconte (Ridicule), ou Lorenzo Semple Jr. pour Pakula (À cause d’un assassinat), ainsi que les réalisations de Mike Nichols, célébré à Hollywood depuis le succès éclatant du Lauréat, qui révéla Dustin Hoffman. L’acteur sera trois ans plus tard métamorphosé par le maquillage de Little Big Man, de par le talent du technicien Dean Smith. Des techniciens (et artistes) sans qui le cinéma ne serait pas ce qu’il est. Le cinéphile est ainsi hanté par la créature d’Alien, œuvre du plasticien Hans Ruedi Giger, et qu’un scénariste fou aurait pu affronter aux Shadoks de René Borg. Et parmi les multiples contributions des équipes de films, comment oublier les musiques de Riz Ortolani pour le western spaghetti, les effets spéciaux sonores de James Nelson pour George Lucas, les décors de Karel Cerny pour Forman (Amadeus), les affiches d’Anthony Goldschmidt, les splendides photos de Gordon Willis pour les films de Coppola (Le parrain) ou Allen (La rose pourpre du Caire), quand il ne s’agit pas de celles de Oswald Morris pour Kubrick (Lolita) et Huston (Moby Dick), ou de Jacques Loiseleux, collaborateur de Pialat (Van Gogh) ? Et s’il faut se souvenir d’autres images du septième art, surgiraient sur un écran les gros plans des délicates Tatiana Samoïlova dans Quand passent les cigognes ou Elina Labourdette dans Les dames du bois de Boulogne. Mais on aura aussi en mémoire le regard de Virna Lisi, terrifiante Catherine de Médicis dans La reine Margot, l’allure glaciale de Martha Hyer dans Comme un torrent, les larmes de la poignante Juanita Moore dans Mirage de la vie, ou les cris d’horreur de Marilyn Burns dans Massacre à la tronçonneuse.

Citons aussi, en vrac, James Garner troublé par la femme qu’il croit être un homme dans Victor Victoria, Daniel Boulanger charriant Jean Seberg dans À bout de souffle, Marco Perrin charrié par Depardieu dans Les valseuses, Bob Hoskins enquêtant sur le lapin Roger Rabbit, Alex Angulo contrecarrant les projets de Satan dans Le jour de la bête, ou bien encore deux obsédés de la caméra : L.M. Kit Carson filmant les new-yorkais dans Le journal de David Holzman, et Karlheinz Böhm délaissant l’univers compassé de Sissi pour jouer au voyeur assassin dans Peeping Tom. Mais des séquences d’autres films réussis hanteront le cinéphile : un repas grandiose préparé avec amour dans Le festin de Babette de Gabriel Axel, un écrivain appauvri et errant à travers la ville dans La faim de Henning Carlsen, Erica se livrant à de nouvelles expériences dans Une femme libre de Paul Mazursky, un commando parachuté dans Quand les aigles attaquent de Brian G. Hutton, ou un jeune couple cherchant sa place dans On s’est trompé d’histoire d’amour de Jean-Louis Bertuccelli. Certains pourront aussi se remémorer des extraits de cinéma bis, auquel ont contribué Chūsei Sone, Philip Marshak ou Michel Lang (À nous les petites anglaises)... Dans ce split screen auraient aussi leurs places les seconds couteaux, de Mary Anderson et Alicia Rhett, rescapées d’Autant en emporte le vent, à Malcolm Tierney alias Shann Childsen et Christopher Malcolm alias Zev Seneca dans la saga Star Wars, en passant par Carla Laemmle et George Bookasta, rescapés du cinéma muet, Ruth L. Robinson, la dernière Munchkin, Panna Rittikrai, cascadeur et chorégraphe, ou Dave Legeno, le loup-garou dans Harry Potter. Une saga qui a vu aussi la disparition des interprètes d’Elphias Doge (David Ryall) et Barty Crouch (Roger Lloyd-Pack). Ces seconds couteaux seraient rejoints par les adversaires de James Bond : Richard Kiel, l’ennemi aux dents d’acier, mais aussi Geoffrey Holder, Baron Samedi dans Vivre et laisser mourir, Jeffry Wickham, officier soviétique dans On ne vit que deux fois, ou Gottfried John dans GoldenEye. Des emplois qu’auraient pu tenir les inquiétants James Shigeta (Piège de cristal) ou Ox Baker (New York 1997). De prestigieux seconds rôles seraient aussi prétexte à de nombreux extraits : Ruby Dee, Mama Lucas dans American Gangster, Warren Clarke, l’un des « droogies » d’Orange mécanique, Billie Whitelaw, vue chez Boorman et Hitchcock, Elena Varzi, figure du néoréalisme italien, Françoise Bertin et Hélène Duc, grand-mères respectives de Canet dans Ensemble c’est tout et de Tanguy, Dora Bryan, mère volage dans Un goût de miel, Polly Bergen, épouse séquestrée dans Les nerfs à vif, Marcia Strassman, chérie dont on a rétréci les gosses, Misty Upham, Amérindienne dans Jimmy P., Wu Ma, moine taoïste dans A Chinese Ghost Story, Jacques Herlin, moine chrétien dans Jimmy P., Arnoldo Foa, inspecteur dans Le procès, Renée Asherson, princesse pour Laurence Olivier, Booth Cohlman, juge pour les frères Coen, Richard Bull, médecin pour Eastwood, Veronica Lazar, infirmière pour Argento, Michel Francini, colonel pour Mocky, Gérard Lartigau, régisseur pour Resnais, Micheline Dax, voisine philosophe pour Podalydès, Andréa Parisy, religieuse pour Oury, Jean Gaven, policier pour Clément, Jean Dautremay, espion pour Deville, Jean Gillibert, seigneur féodal pour Bresson, Christiane Minazzoli, bourgeoise offusquée pour Chabrol, Fred Personne, client de bordel pour Godard, mais aussi James Rebhorn (The Game), Elizabeth Peña (Lone Star), Marian Seldes (Mélodie pour un tueur), Rosemary Murphy (Du silence et des ombres), Sid Caesar (Grease), Gilles Segal, Jacqueline Staup, Thierry Redler, Ultra Violet, Maya Angelou et bien d’autres... De somptueuses créatures de l’écran complèteraient la galerie : Yvette Lebon traversant les univers de Guitry et du péplum italien, Audrey Long, vedette du film noir (Desperate), Maria Mauban, séductrice boiteuse pour Rossellini, Lorella De Luca, ingénue de la comédie italienne (Il Bidone), France Anglade, du remake de Caroline chérie, Kate O’Mara, prêtresse de la Hammer, Lilli Carati, papesse du film érotique, ou Alexandra Bastedo, sex-symbol des sixties. Elles valent bien leurs homologues masculins, de Jacques Bergerac, french lover hollywoodien, et François Deguelt, crooner sixties, à Denny Miller, douzième Tarzan de l’écran, en passant par Gil Vidal, jeune premier des années 50 et 60 (Marianne de ma jeunesse). Et les projecteurs des cinémas du monde n’oublieraient pas des plans de Ken Takakura, émouvant kamikaze dans Le chemin des lucioles, Keiko Awaji, danseuse tourmentée dans Chien enragé, Shôji Yasui et Bunta Sugawara dans La harpe de Birmanie, Suchitra Sen, icône de Bollywood, Khaled Saleh, star du cinéma égyptien (L’immeuble Yacoubian), Columba Dominguez, grande vedette mexicaine, Donatas Banionisou, cosmonaute dans Solaris, ou Christine Buchegger, interprète habitée de Bergman. On aura enfin et surtout le souvenir du montage prodigieux des films d’Alain Resnais, qui restera sans doute comme l’un des cinéastes mondiaux les plus doués et originaux, et dont la disparition est pour le septième art ce que sont celles de Gabriel Garcia Marquez ou Nadine Gordimer pour la littérature. L’ont suivi des collaborateurs de talent : son fidèle décorateur Jacques Saulnier, le musicien M. Philippe-Gérard, la monteuse Claudine Merlin, mais aussi les lumineuses actrices Elaine Strich et Catherine Sellers, avant tout comédiennes de théâtre, et Marie Dubois, muse de la Nouvelle Vague. Une Nouvelle Vague à laquelle sont également associés les noms du compositeur Antoine Duhamel et de la monteuse Claudine Bouché.

– Tous les disparus de janvier 2014
– Tous les disparus de février 2014
– Tous les disparus de mars 2014
– Tous les disparus d’avril 2014
– Tous les disparus de mai 2014
– Tous les disparus de juin 2014
– Tous les disparus de juillet 2014
– Tous les disparus d’août 2014
– Tous les disparus de septembre 2014
– Tous les disparus d’octobre 2014
– Tous les disparus de novembre 2014

Les personnalités du show-biz décédées en décembre

Denis Poncet fut un producteur audacieux, qui reçut en 2002 l’Oscar du meilleur documentaire pour Un coupable idéal de Jean-Xavier de Lestrade. Il avait débuté dans le journalisme. Une profession qui était aussi celle de Michel Caen, créateur de la mythique revue Midi-Minuit Fantastique, et de Jacques Chancel, qui dans son Grand Échiquier télévisuel avait réussi l’exploit de réunir dans la même émission François Truffaut, Robert Castel et Lucette Sahuquet, tout en interviewant Ingrid Bergman sur France Inter... Ingrid Bergman qui a peut-être côtoyé sur les studios Ingvar Kjellson, vétéran du cinéma suédois, aperçu dans une centaine d’œuvres, dont La honte d’Ingmar Bergman. Autre visage familier du cinéma scandinave, la Danoise Vera Gebuhr, primée pour l’ensemble de sa carrière au Festival de Copenhague 2003, avait notamment joué dans Gertrud (1964) de Dreyer et Europa (1991) de von Trier. Des seconds rôles certes, mais aussi marquants que ceux tenus par l’Américain Booth Cohlman, qui a débuté avec Hawks et composé des silhouettes pour les frères Coen, ou les Anglais Tom Adams, David Ryall et Bernard Kay. Le premier a été de La grande évasion. Le second joua dans Elephant Man, La cité de l’ombre et fut Elphias Doge dans Harry Potter et les reliques de la mort. Le troisième, pilier de la BBC, a tourné de nombreux films et a notamment incarné un Bolchévique dans Docteur Jivago (D. Lean, 1965). Leur compatriote Billie Whitelaw était à la scène l’interprète de Beckett, qui voyait en elle l’ « actrice parfaite ». BAFTA du meilleur second rôle féminin pour Charlie Bubbles (A. Finney, 1967), elle a tourné dans des films aussi divers que Léo the Last (J. Boorman, 1970), Frenzy (A. Hitchcock, 1972), La malédiction (R. Donner, 1976) ou Hot Fuzz (E. Wright, 2007). Plus discrètes mais non moins prolifiques furent les carrières de Richard Graydon et Georges Aubert. Le premier, également cascadeur, était la doublure de Roger Moore (James Bond) dans Moonraker (1979). Le second, doyen du doublage en France, et acteur dans de nombreux films (L’aveu, 1970). Contrôleur dans Courage fuyons, gardien dans Le voleur de feuilles, il était le plus souvent crédité au générique de fin, tout comme Edward Herrmann. Ce dernier a beaucoup tourné et a eu de petits rôles pour Scorsese (Le loup de Wall Street) mais restera surtout connu du grand public pour son personnage du père de Lorelei dans la série Gilmore Girls. Il était lauréat d’un Emmy Award.
Musique et cinéma ont parfois fait bon ménage. Passons sur la rubrique people glauque qui a vu l’assassinat en direct sur le Web de la danseuse et actrice Stephanie Moseley par son compagnon, le rappeur Earl Hayes, qui s’est ensuite donné la mort... Moins agitée aura été l’existence de l’actrice et chanteuse Mary Ann Mobley, Miss America 1959, et Golden Globe de la révélation féminine en 1965. Elle a joué dans plusieurs séries dont La croisière s’amuse. Elle bénéficia un temps d’un glamour qui fut aussi celui de Udo Jürgens, lauréat du Concours Eurovision de la chanson 1966 pour son tube Merci chérie. Dans un autre registre, Manuel De Sica, fils de Vittorio, avait composé de nombreuses musiques de films, du Jardin des Finzi Contini (1970) à Remake, Rome ville ouverte (1996), qui lui avait valu un Donatello. Il était de la même génération que Bobby Keys, saxophoniste des Rolling Stones, présent sur les enregistrements du groupe parmi les plus célèbres, dont l’album Sticky Fingers (1971).

Les acteurs

– Tom Adams, acteur anglais (1938-2014)

– Morteza Ahmadi, acteur iranien (1924-2014)

– Mary Arden, actrice américaine (1933-2014)

– George Ardisson, acteur italien (1931-2014)

– Georges Aubert, acteur français (1917-2014)

– Mohamed Bastaoui, acteur marocain (1954-2014)

– James G. Becker, acteur américain (1966-2014)

– Terry Becker, acteur américain (1930-2014)

– Christine Cavanaugh, actrice américaine (1963-2014)

– Booth Colman, acteur américain (1923-2014)

– Buddy DeFranco, clarinettiste de jazz américain (1923-2014)

– Yolande Donlan, actrice américaine (1920-2014)

– Mike Elliot, acteur anglais (1946-2014)

– Loren Ewing, acteur américain (1937-2014)

– Sergio Fiorentini, acteur italien (934-2014)

– Álvaro Forqué, réalisateur espagnol (1953-2014)

– Luciano Francioli, acteur italien (1932-2014)

– Fidel Garriga, acteur mexicain (1948-2014)

– Vera Gehbur, actrice danoise (1916-2014)

– Stefan Gierash, acteur américain (1926-2014)

– Ruth Glöss, actrice allemande (1928-2014)

– Richard Graydon, cascadeur et acteur anglais (1922-2014)

– Edward Herrmann, acteur américain (1943-2014)

– Kazuko Inano, actrice japonaise (1937-2014)

– Bernard Kay, acteur anglais (1928-2014)

– Ingvar Kjellson, acteur suédois (1923-2014)

– Virna Lisi, actrice italienne (1936-2014)

Lire notre hommage à Virna Lisi

– Jeremy Lloyd, acteur et scénariste anglais (1930-2014)

– Mustapha Maarof, acteur malaisien (1935-2014

– Renato Mambor, acteur italien (1936-2014)

– Mary Ann Mobley, actrice et chanteuse américaine (1939-2014)

– Antonio Montez, acteur portugais (1941-2014)

– Hidetoshi Nakamura, acteur japonais (1954-2014)

– Lisa Negri, actrice brésilienne (1941-2014)

– Luise Rainer, actrice allemande (1910-2014)

Lire notre hommage à Luise Rainer

– Rhodes Reason, acteur américain (1930-2014)

– Walter Reyno, acteur urugayen (1933-2014)

– Mandy Rice-Davies, actrice et modèle anglaise (1944-2014)

– Eddie Rouse, acteur américain (1954-2014)

– David Ryall, acteur anglais (1935-2014)

– Bridget Turner, actrice anglaise (1939-2014)

– Alberto Valdiri, acteur colombien (1959-2014)

– Deven Verma, acteur indien (1937-2014)

– Ken Weatherwax, acteur enfant américain (1955-2014)

– Billie Whitelaw, actrice anglaise (1932-2014)

– Mustapha Yasser, acteur marocain (1934-2014)

Les réalisateurs et autres personnalités

– K. Balachander, réalisateur et producteur indien (1930-2014)

– Ina Bauer, patineuse artistique et actrice allemande (1941-2014)

– Michel Caen, journaliste français de cinéma (1942-2014)

– Jacques Chancel, journaliste français, occasionnellement au cinéma (1928-2014)

– Chan Kwok-hung, directeur de la photographie chinois (1963-2014)

– Gerry Fisher, directeur de la photographie anglais (1926-2014)

– Bodo Fründt, critique et historien du cinéma allemand (1945-2014)

– Arthur Gardner, producteur et acteur américain (1910-2014)

– Martha Goldman Sigall, artiste d’animation américaine (1917-2014)

– Krzysztof Krauze, réalisateur polonais (1953-2014)

– Vicente Leñero, scénariste et réalisateur mexicain (1933-2014)

– José Luis Merino, scénariste espagnol (1927-2014)

– Maximo Munzi, directeur de la photographie italo-argentin (1957-2014)

– Stanley Neufeld, assistant réalisateur américain (1923-2014)

– Denis Poncet, producteur français (1948-2014)

– Giulio Questi, réalisateur italien (1924-2014)

– Joseph Sargent, réalisateur américain (1925-2014)

– Phil Stern, photographe américain (1919-2014)

– Robert Taylor, réalisateur et producteur d’animation américain (1944-2014)

– Ernie Terrell, boxeur et acteur occasionnel américain (1939-2014)

– Michelle Tisseyre, journaliste et chroniqueuse québécoise (1918-2014)

– Jeff Truman, scénariste australien (1957-2014)

Paroles et musiques

– Alberta Adams, chanteuse américaine (1917-2014)

– Guy Bontempelli, chanteur et acteur français (1940-2014)

– Chakri, compositeur indien (1974-2014)

– Joe Cocker, compositeur et chanteur anglais (1944-2014)

Lire notre hommage à Joe Cocker

– Walter De Buck, chanteur et compositeur belge (1934-2014)

– Manuel De Sica, compositeur italien (1949-2014)

– Leopoldo Federico, bandéoniste argentin (1927-2014)

– Horacio Ferrer, auteur de chansons, acteur et écrivain argentin (1933-2014)

– Robert Goute, musicien militaire français (1919-2014)

– Patrick Gowers, compositeur anglais (1936-2014)

– Earl Hayes, rappeur américain (1980-2014)

– Larry Henley, chanteur et auteur de chansons américain (1937-2014)

– Luis Herrera de la Fuente, compositeur et chef d’orchestre mexicain (1916-2014)

– Udo Jürgens, chanteur autrichien (1934-2014)

– Bobby Keys, saxophoniste américain (1943-2014)

– Jacques Lonchampt, critique musical français (1925-2014)

– Ian McLagan, claviériste de rock anglais (1945-2014)

– Liselotte Maikl, cantatrice et danseuse autrichienne (1925-2014)

– Giuseppe Mango, chanteur et musicien italien (1954-2014)

– Janis Martin, cantatrice américaine (1939-2014)

– Bob Montgomery, chanteur et compositeur américain (1937-2014)

– Stephanie Moseley, danseuse et actrice canadienne (1984-2014)

– Frankie Randall, chanteur et acteur américain (1938-2014)

– Wendy Rene, chanteuse américaine (1947-2014)

– Dawn Sears, chanteuse américaine (1961-2014)

– Jerzy Semkow, chef d’orchestre polonais (1928-2014)

– Sheila Stewart, chanteuse et compositrice écossaise (1935-2014)

– Fantani Touré, chanteuse malienne (1932-2014)

– Hans Wallat, chef d’orchestre allemand (1929-2014)

– Billie Whitelaw, actrice britannique (1932-2014)

Lire notre hommage à Richard Attenborough
Lire notre hommage à Lauren Bacall
Lire notre hommage à Philip Seymour Hoffman
Lire notre hommage à Bob Hoskins
Lire notre hommage à Miklos Jancso
Lire notre hommage à Mike Nichols
Lire notre hommage à Harold Ramis
Lire notre hommage à Alain Resnais
Lire notre hommage à Mickey Rooney
Lire notre hommage à Maximilian Schell
Lire notre hommage à Eli Wallach
lire notre hommage à Robin Williams

Tous les disparus de 2013

Copyright photos : D.R.

– Le Top 10 de la rédaction
– Tous les disparus de 2014
– Bilan 2014 : les films fantastiques et d’épouvante de l’année
– Bilan 2014 : les 50 films indépendants de l’année
– Bilan 2014 : les comédies françaises
– Bilan 2014 : état des lieux du cinéma américain
– Bilan 2014 : le top 10 des séries
– Les Meilleurs Albums de 2014
– Les affiches les plus belles de 2014
– Les affiches les plus laides de 2014